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Un taux de croissance de 3,3 % en 2016



Un taux de croissance de 3,3 % en 2016
L'économie algérienne a réalisé un taux de croissance de 3,3 % en 2016 contre 3,7% en 2015, et un Produit intérieur brut (PIB) par habitant de 3.894 dollars en 2016, a indiqué hier l'Office national des statistiques (ONS). Cette croissance appréciable a été pour l'essentiel tirée par le secteur des hydrocarbures, qui a connu un véritable rebond en 2016 avec une hausse de sa valeur ajoutée de 7,7 % en 2016 contre 0,2 % en 2015.L'économie algérienne a réalisé un taux de croissance de 3,3 % en 2016 contre 3,7% en 2015, et un Produit intérieur brut (PIB) par habitant de 3.894 dollars en 2016, a indiqué hier l'Office national des statistiques (ONS). Cette croissance appréciable a été pour l'essentiel tirée par le secteur des hydrocarbures, qui a connu un véritable rebond en 2016 avec une hausse de sa valeur ajoutée de 7,7 % en 2016 contre 0,2 % en 2015.Pour ce qui est des croissances sectorielles, elles ont été marquées par les légères performances de l'agriculture et une croissance contrastée dans l'ensemble des secteurs d'activité, du fait du recul des dépenses publiques et de la contraction des importations.En valeurs courantes, le PIB est passé de 16.702,1 milliards DA en 2015 à 17.406,8 milliards DA en 2016, soit une hausse de 4,2 %.Par tête d'habitant, le PIB per capita est évalué à 3.894,0 dollars en 2016. Le déflateur du PIB a enregistré une hausse de 0,9 % en 2016 après des baisses en 2014 (0,3 %) et 2015 (6,5 %).Cette tendance révèle ainsi une décélération de la baisse des prix internationaux des hydrocarbures. D'autre part, la Consommation finale des ménages (CFM) aaffiché en 2016 une croissancede 3,3 %, tandis que laFormation brute de capital fixe(FBCF) a évolué de 3,5 % envolume contre 5,7% en 2015,soit une baisse du rythme de croissance de la FBCF.Cette baisse du rythme decroissance de la FBCF a étéinduite essentiellement par le recul des importations desbiens d'équipement industrielsdès 2014, ainsi qu'à une relative baisse des dépensesd'équipement de l'Etat.En valeurs nominales, laFBCF a augmenté de 6 %, s'établissant à 7.467,3 milliards DA en 2016 contre 7.041,7 milliards DA en 2015.Le ralentissement du rythme decroissance en volume de laFBCF maintient toutefois untaux d'investissement dans l'économieencore élevé, vuequ'en 2016 la part de la FBCFdans le PIB a atteint 42,9 %,alors que ce taux était de 42,2% en 2015.Ces ratios dénotent un effortd'investissement toujours trèsimportant mais soutenu, pour l'essentiel, par l'Etat et le secteur de 'énergie et des hydrocarbures.Pour ce qui est des croissances sectorielles, elles ont été marquées par les légères performances de l'agriculture et une croissance contrastée dans l'ensemble des secteurs d'activité, du fait du recul des dépenses publiques et de la contraction des importations.En valeurs courantes, le PIB est passé de 16.702,1 milliards DA en 2015 à 17.406,8 milliards DA en 2016, soit une hausse de 4,2 %.Par tête d'habitant, le PIB per capita est évalué à 3.894,0 dollars en 2016. Le déflateur du PIB a enregistré une hausse de 0,9 % en 2016 après des baisses en 2014 (0,3 %) et 2015 (6,5 %).Cette tendance révèle ainsi une décélération de la baisse des prix internationaux des hydrocarbures. D'autre part, la Consommation finale des ménages (CFM) aaffiché en 2016 une croissancede 3,3 %, tandis que laFormation brute de capital fixe(FBCF) a évolué de 3,5 % envolume contre 5,7% en 2015,soit une baisse du rythme de croissance de la FBCF.Cette baisse du rythme decroissance de la FBCF a étéinduite essentiellement par le recul des importations desbiens d'équipement industrielsdès 2014, ainsi qu'à une relative baisse des dépensesd'équipement de l'Etat.En valeurs nominales, laFBCF a augmenté de 6 %, s'établissant à 7.467,3 milliards DA en 2016 contre 7.041,7 milliards DA en 2015.Le ralentissement du rythme decroissance en volume de laFBCF maintient toutefois untaux d'investissement dans l'économieencore élevé, vuequ'en 2016 la part de la FBCFdans le PIB a atteint 42,9 %,alors que ce taux était de 42,2% en 2015.Ces ratios dénotent un effortd'investissement toujours trèsimportant mais soutenu, pour l'essentiel, par l'Etat et le secteur de 'énergie et des hydrocarbures.



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