Algérie - Revue de Presse

Un réveillon sous haute surveillance



A l'hôtel Chenoua appartenant à  l'investisseur Aboura, c'est une atmosphère de fête qui règne dans cet établissement touristique. Des familles sagement attablées au 1er étage sont occupées par le menu de fin d'année proposé par l'hôtel. A l'entrée des complexes touristiques Matarès et Corne d'Or, le service de la réception de l'hôtel continue d'accueillir les fêtards retardataires. Dans le grand restaurant de cet hôtel, la piste de danse est investie par des hommes surexcités. Les femmes affichent étrangement une timidité. Elles préfèrent se lâcher près de leurs tables. Des hommes de Batna, Djelfa, Blida, Aïn Defla et Médéa s'illustrent devant l'assistance par leurs enchères en billets de 1000 DA. Dédicaces et drague à  travers les annonces du chanteur.
Celui-ci se plie à  la volonté des donneurs de billets de 1000 DA. Avant de quitter les lieux, on nous révèle qu'une danseuse fera son apparition juste avant minuit. Ce sera la surprise pour les réveillonneurs et le directeur de l'hôtel. Les airs rythmés de musique et les cris de joie qui fusent du restaurant de l'autre complexe touristique «ex-CET» sont entendus par les fêtards qui déambulent sur le gazon du complexe Corne d'Or. Au restaurant du port, l'ex-night-club de la Corne d'Or vibre. Le DJ annonce le compte à  rebours à  l'unisson avec les jeunes qui débordent de joie et d'énergie. A minuit, c'est un jet de fumée déclenché par le DJ qui envahit le night-club. A Tipasa-ville, c'est le calme.   Les services  de l'ordre étaient partout déployés pour assurer la sécurité aux fétards.



 
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