un nouveau film d'action en tamazight Il est en cours de réalisation par Idir Saoudi

Le producteur de ce long métrage est en train de réaliser le tournage avec une équipe de comédiens algériens, maliens et chinois.Après le film Le sang et l'argent qui a décroché, l'année dernière, le prix de la meilleure interprétation féminine, au Festival international du cinéma amazigh, au Maroc, le jeune Idir Saoudi, vient d'entamer la réalisation d'une autre production cinématographique.
Il s'agit du film intitulé Azetta Tissisth (La toile d'araignée) dont le premier tour de manivelle a été donné dernièrement à Tizi Ouzou, avec la participation de la boîte de production GOfilm, de Youcef Goucem.
Devant une khaïma, un crime a été commis, une voiture noire se gare dans le parking, une personne sort un pistolet par la fenêtre, tire plusieurs coups et jette une cagoule en partant. Yani est mort, c'est le mari de Sarah qui a été assassiné. Sarah bouleversée par la perte de son amour, mène son enquête pour démasquer le meurtrier, en demandant l'aide à ses amis, Lynda et Kiki. Nadjib (l'inspecteur de police) arrive sur le lieu de crime, et trouve Nina assassinée, une cagoule sur sa poitrine.
Trois mois de tournage
Puis, il embarque avec lui les deux témoins (un SDF et le patron du la khaïma). Le SDF a filmé avec sa caméscope une femme qui sortait de la khaïma avant de rentrer dans une voiture noire. Elle a jeté une cagoule avant de prendre la fuite. Nadjib est informé de la scène. Il vérifie la vidéo et s'aperçoit qu'il s'agit de Sarah. Puis, il se déplacera vers son domicile. Une fois arrivé, une femme l'informe que Sarah a pris ses affaires et son passeport et a quitté la maison.
Sarah dans l'avion revoit toutes les images des deux amants, son mari et Nina qui n'est autre que la femme de Jozef, le chef d'un réseau de trafic de drogue avec des Chinois et des Maliens. Nadjib regarde l'avion s'envoler et rebrousse le chemin, tel est le résumé du film qui est en cours de réalisation par la boîte de production Gofilm de Youcef Guoucem, dans les wilayas d'Alger, Tizi Ouzou, Boumerdès, Béjaïa et Jijel.
La durée de réalisation est, selon Idir Saoudi, de trois mois.