Qui ne se souvient pas de ce honteux verdict rendu en novembre dernier par le tribunal de Doha condamnant le poète Mohammed Al Ajami, alias Ibn Al Dhib, à la prison à vie ' Son crime ' Avoir célébré par les vers le Printemps arabe que son pays, le Qatar, a sponsorisé, financé et armé. Le jeune poète pensait qu'il pouvait donner libre cours à sa muse, estimant naïvement qu'elle était en phase avec la mission géopolitique de son émirat. Grave erreur d'appréciation puisque son poème à la gloire des révoltes arabes est jugé «adaptable» dans son interprétation au régime du Qatar.
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Posté Le : 11/06/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Hassan Moali
Source : www.elwatan.com