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Tunisie, Présidentielle et législatives



Tunisie, Présidentielle et législatives
Les élections se tiendront en juin 2013Les trois partis de la coalition au pouvoir en Tunisie, qui rassemble les islamistes d'Ennahda et deux formations classées à gauche, ont annoncé, dimanche matin, s'être mis d'accord sur l'organisation d'élections présidentielle et législatives le 23 juin 2013.
Un communiqué de la coalition précise que le président sera élu au scrutin direct, et qu'un second tour sera organisé, si besoin est, le 7 juillet.
Cet accord intervient alors que l'opposition multipliait les critiques contre le mouvement Ennahda, accusé de retarder la tenue d'élections pour monopoliser le pouvoir.
"Nous nous sommes mis d'accord sur le choix d'un système politique mixte", précise le communiqué. "Ce système assurera l'équilibre entre le pouvoir législatif et l'exécutif."
L'accord doit encore être approuvé par les 217 parlementaires de l'assemblée constituante, dont plus de la moitié appartiennent à la coalition au pouvoir.
Ennahda a remporté en octobre dernier l'élection de l'assemblée constituante, à la suite de la révolution qui a chassé en janvier 2011 l'ancien président Zine El-Abidine ben Ali.
Le président du gouvernement, Hamadi Jebali, est issu de la formation islamiste qui gouverne le pays aux côtés du Congrès pour la République du président de la République, Moncef Marzouki et de l'Ettakatol de Moustapha ben Jaafar, le président de l'assemblée constituante.
La rédaction de la Constitution tunisienne est ralentie par les désaccords, au sein de la coalition, entre Ennahda, qui privilégie un système entièrement parlementaire, et ses partenaires laïcs qui souhaitent donner plus de pouvoirs au futur président.
Les élections se tiendront en juin 2013Les trois partis de la coalition au pouvoir en Tunisie, qui rassemble les islamistes d'Ennahda et deux formations classées à gauche, ont annoncé, dimanche matin, s'être mis d'accord sur l'organisation d'élections présidentielle et législatives le 23 juin 2013.
Un communiqué de la coalition précise que le président sera élu au scrutin direct, et qu'un second tour sera organisé, si besoin est, le 7 juillet.
Cet accord intervient alors que l'opposition multipliait les critiques contre le mouvement Ennahda, accusé de retarder la tenue d'élections pour monopoliser le pouvoir.
"Nous nous sommes mis d'accord sur le choix d'un système politique mixte", précise le communiqué. "Ce système assurera l'équilibre entre le pouvoir législatif et l'exécutif."
L'accord doit encore être approuvé par les 217 parlementaires de l'assemblée constituante, dont plus de la moitié appartiennent à la coalition au pouvoir.
Ennahda a remporté en octobre dernier l'élection de l'assemblée constituante, à la suite de la révolution qui a chassé en janvier 2011 l'ancien président Zine El-Abidine ben Ali.
Le président du gouvernement, Hamadi Jebali, est issu de la formation islamiste qui gouverne le pays aux côtés du Congrès pour la République du président de la République, Moncef Marzouki et de l'Ettakatol de Moustapha ben Jaafar, le président de l'assemblée constituante.
La rédaction de la Constitution tunisienne est ralentie par les désaccords, au sein de la coalition, entre Ennahda, qui privilégie un système entièrement parlementaire, et ses partenaires laïcs qui souhaitent donner plus de pouvoirs au futur président.
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