Algérie

tragédiesD'hier et d'aujourd'hui



tragédiesD'hier et d'aujourd'hui
Résumé de la 8e partie n Certaines des croyances d'Andrea Yates, semblent être en partie nées de la lecture des écrits de Michael Warneky, le prédicateur qui avait suivi Rusty et Andrea.«La chose qui m'avait marqué, c'était un tract qui parlait d'une mère et de ses enfants. Et qui disait à peu-près ça?:?«Jézabel jettera ses enfants dans la rivière et les détruira», dit une des amies d' Andrea. «Elle était convaincue qu'un de ses fils deviendrait un tueur en série. Un autre allait finir en prison. Elle avait cette certitude absolue et totalement démente que chacun de ses enfants finirait mal d'une manière ou d'une autre. Et irait droit en enfer. C'était écrit», dit un policier. «Je ne savais pas que les croyances ou les pensées d'une personne pouvait devenir si délirante. Qu'elle finisse par se persuader de choses insensées ou entendre ou voir des choses qui n'existent pas», dit un autre policier. Il ajoute?: «je lui ai demandé?: pensez-vous que vous êtes possédée par un démon ou par Satan '». «Elle a tué tous ses enfants et son fils aîné en dernier. Il était grand et costaud pour son âge. C'est lui qui a le plus résisté quand elle l'a noyé. Il a sorti la tête de l'eau et a prononcé une phrase du style?: «maman, je serai sage». Comme s'il pensait que la noyade était une punition. Elle a ensuite pris le corps de chaque enfant et est allée le placer sur le grand lit dans la chambre parentale. L'un des enfants était très doué en tant que grand frère. Je crois me souvenir que c'était Jhon. Elle a pris le bébé, la petite fille âgée de six mois et l'a mise au creux des bras de Jhon pour qu'il puisse veiller sur elle dans l'audelà. Etant donné qu'il s'était bien occupé d'elle durant leur vie», dit un policier. Le procès qui doit se tenir à Houston s'annonce comme le procès du siècle. Les principaux faits sont incontestables. Le matin du 20 juin 2001, Andrea Yates âgée de 36 ans a méthodiquement noyé ses cinq enfants l'un après l'autre. L'avocat de la défense Georges Parnham sait que la seule chance de sa cliente est de plaider non-coupable pour cause d'aliénation mentale. Mais au fur et à mesure que les détails du crime sont connus, l'indignation publique croît.A suivre



Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)