Algérie - Revue de Presse


2000 ha ravagés par le feuUn gigantesque incendie a ravagé la mise en défens située dans la commune de Rosfa au nord-est du chef-lieu de wilaya. En dépit des interventions combinées des éléments de la protection civile et ceux des forets, le feu n'a pu être circonscrit qu'après vingt quatre heures. Ce sinistre a causé d'inestimables dégâts. En plus du couvert végétal dans ces vastes parcours, autrefois loués aux transhumants en périodes creuses de l'année, on enregistre des pertes animalières toutes aussi importantes. Beaucoup d'espèces de volatiles ont péri sous le déluge de feu dont l'origine demeure, pour l'heure, inconnue. Le black-out médiatique des responsables concernés ne permet hélas pas de mesurer l'ampleur des dégâts et, encore moins, de situer les responsabilités.Débrayage à l'APCL'ex- salle des fêtes qui abrite les différents services publics de l'assemblée populaire communale du chef-lieu a été le théâtre, mercredi dernier, d'un incident spectaculaire. L'une des jeunes filles qui travaille au guichet venait d'être lâchement agressée par des jeunes femmes. Ces dernières lui auraient exigé des documents qui ne relevaient pas de ses compétences. La police est intervenue, une plainte fut déposée. L'incident a semé la panique au milieu d'une foule impressionnante. Blessés dans son amour-propre, le personnel a entamé un débrayage dénoué au prix de longues tractations par le directeur de l'administration locale (DAL), intérimaire du chef de daïra. Au-delà de cet acte, un vrai malaise subsiste dans les travées de la mairie traduisant toute la problématique de la bureaucratie algérienne : prises de bec et fréquentes scènes tragi-comiques. Ces jours-ci, à l'instar de beaucoup d'APC, l'affluence est record : nouveaux bacheliers, mariages (une trentaine en moyenne par jour) et les extraits de naissance 12/S à établir. Des heures pour retirer les documents. Selon un des officiers de l'état civil, les conditions de travail ne sont pas idéales et il y a absence de sécurité. Tout le monde se plaint.


Cher Monsieur Benada, Votre témoignage est sans appel effarent, malheureusement c'est le même scénario qui se répète dans toutes les villes d'Algérie ... Mais à côté de tout cela il y a l'espoir, il y a des gens honnêtes et soucieux de l'avenir de leurs enfants qui luttent pour une vie meilleure. Pour revenir à Tiaret et à ce site, notre but est qu'en parallèle de la dure réalité, il existe un autre visage de ce pays qu'on voudrait valoriser ... Aidez nous à réussir ce pari c'est mieux que de se lamenter sur notre sort, ou espérer une quelconque aide des autorités qui ne viendra sûrement jamais !!!
Malek - Webmaster et Photographe - Tlemcen, Algérie

19/07/2010 - 5712

Commentaires

Tiaret est redevenu une ville fantome où rien ne va . Tiaret est la proie de truands ,de corrompus et de malfaiteurs ,sans compter les islamistes terroristes libérés qui continuen à fanatiser les jeunes dans les quartiers et les mosquées. Cette ville dévastée qui n a ni hommes de cultures,ni sportifs,ni élus (APC dissoute,députés et sénateurs incompétents et corrompus) ainsi que des autorités immobiles et amorphes (wilaya,daira,justice,services de sécurité...) a besoin de "Ouled el Bled" courageux et solidaires .et qui peuvent reprendre en mains leurs destinées. certains journalistes (Le soir,quotidien,liberté,el khabar,echo d oran,radio locale..) on été tous récupérés par les autorités incompétents et corrompus. Hélas cette ville avec ses chomeurs,ses "haragas",ses prostituées ,ses drogués,ses malades mentaux ,ses mendiants et ses barbus fanatiques avec leurs barbes de Kaboul et les filles avec leurs "hidjab" iraniens donnen le véritable visage de cette ville : "UNE VILLE SANS LOI NI FOI " Les autorités gouvernementales et le Président de la République doivent agir maintenant avant qu il ne soit trop tard . Un Fils de la ville de El Greba qui a honte pour sa ville et son pays.
Benada - Chomeur - Tiaret, Algérie

19/07/2010 - 5705

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