Tapez et retaper !

Rénover les immeuble est une très bonne chose. Nul ne peut le nier. Sauf qu'il est des questions dont pas mal de con-citoyens ne trouvent pas réponse. Prenons une artère principale du vile-centre. On décide de retaper un immeuble ; un autre mais pas l'autre. Ils sont pourtant sur le même axe. Limada ' Va savoir. Qui décide du choix de l'un et n'o de l'autre. Ils sont dans le même état. Leurs occupants sont tous copropriétaires. Les parties communes leurs appartiennent. La faça si elle est arrivée çà ce point de faissède, c'est à cause des intempérie dans leur cabessa et l'impossible entente des voisins. L'intérieur, la cage d'escalier c'est pareil. Celui du dernier étage refuse de cotise que cette parie de l'édifice est mloins sollicitée donc en meilleure états. Celui du premier est le premier touché par les dégradations. Il tente de les sensibiliser. Mais le takhti rassi est le maître « maux ». Mais voilà que celui du dernier palier commence a avoir des infiltrations d'eau dans son logis, car son plafond c'est aussi le parquet de la terrasse. L'étanchéité, depuis qu'elle a fêter l'indépendance et le « bienvacantisme opégéiste », s'est fâché avec l'entretien. Bien entendu, lui qui a refusé de participer aux travaux des parties commune du premier palier, se voit isolé. « Ya khouya moi je n'ai ni gotra, ni miditi ». En plus pou pour ne pas être déranger par les va et vient de ceux d'en bas, il a accaparer la terrasse cadenassant à triple serrure le « stah ». C'est fait que le jour de la rahma, Aîd el kébir il permet l'accés aux mouton et l'égorgement se fait collectif « saha aïdkoum. » et le reste n'est plus son affaire il referme à triple zokrom. Feu Abdelkrim Dali qu'on nous ressirt àchaque aïd l'accompagnera lui rappelant « Ibrahim el khalil et l'origine de aïd el Adha.Les sociologues ont beau dire que l'entretien des immeubles est une question d'urbanisme mental.Tab-tab, ils sont toujours confronter au rirebanisme officiel. Au fait pourquoi on ne déciderait pas de rénover les villas des quartiers chics ' Celles qui ont été acquises au dinar symbolique grâce à des lois et décision sur mesure.