Algérie - A la une


Suspense
Résumé de la 3e partie n Au moment où elle actionnait la poignée, Carol prit conscience de ce qu'elle venait de faire?Elle se leva, prenant soin de toujours masquer Joe. Regardant par le hublot du côté opposé, elle vit s'ouvrir la porte de la salle d'embarquement. Elle dit au chef des policiers : «Vous avez fouillé l'avion. Mes passagers vont bientôt embarquer. Voulez-vous quitter les lieux, je vous prie '??Vous semblez curieusement pressée de nous voir partir, mademoiselle.??Je n'ai pas fini de vérifier les papiers. Et je pourrais difficilement le faire tout en m'occupant des voyageurs.»Des pas gravissaient précipitamment la passerelle. Un homme entra. «Chef, dit-il, le commissaire veut un rapport immédiat sur les recherches.Carol vit avec soulagement les trois hommes s'élancer à l'extérieur.Accompagnés par un membre du personnel au sol, les passagers atteignaient le pied de la passerelle au moment où les policiers en descendaient. L'équipage pour sa part embarquait par l'avant.«Joe», appela Carol. Le garçon avait quitté son siège, et se tenait tapi dans l'allée. Carol l'entraîna vers la queue de l'avion et lui désigna, les toilettes pour hommes. «Entrez là. Otez l'uniforme et n'ouvrez la porte à personne en dehors de moi.»Elle alla se placer à l'entrée, plaqua un sourire sur son visage à l'adresse des arrivants. Le représentant de la compagnie lui tendit le manifeste et attendit pendant qu'elle accueillait les voyageurs et désignait sa place à chacun.Il y avait six noms sur la liste. Cinq d'entre eux étaient tapés à la machine, et le dernier, «Vladimir Karlov», avait été inscrit à la main. À côté, étaient ajoutées trois lettres : «VIP.»«Qui est ce personnage de marque ' demanda Carol à voix basse au représentant de la compagnie.??Un gros bonnet, le commissaire principal de la police de Danubia. C'est le pire de leurs bouchers, prenez-le avec des gants. Il s'est arrêté pour s'entretenir avec les types qui recherchaient le fugitif.»Le chef de la police ? sur son vol ! Carol crut s'évanouir, mais comme il atteignait le haut de la passerelle, elle lui tendit la main en souriant. C'était un homme de haute taille, d'une cinquantaine d'années, avec un nez étroit et des lèvres minces.«J'ai la place quarante-deux.»Elle ne pouvait pas le laisser s'asseoir à l'arrière de l'avion. Il verrait à coup sûr «Joe» lorsqu'elle le ferait sortir des toilettes. «Le vol jusqu'à Francfort est magnifique, dit-elle aimablement. Vous devriez plutôt vous installer à l'avant de l'appareil.??Je préfère rester à l'arrière, dit-il. On y est moins secoué.??Les turbulences sont extrêmement rares sur cette ligne. Vous ne sentirez aucune secousse à l'avant et la vue y est beaucoup plus belle.»A suivre
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