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Sellal recadre le débat



Sellal recadre le débat
Sellal a été ferme sur les décisions politiques et les orientations économiques prises par le gouvernement.Le Premier ministre a tenu à répondre aux opposants à travers un discours éminemment politique. Il a averti sur un ton menaçant que l'unité nationale est le ciment de tous les Algériens et que personne n'a le droit de jouer sur cette carte.Sellal a été ferme sur les décisions politiques et les orientations économiques prises par le gouvernement.Le Premier ministre a tenu à répondre aux opposants à travers un discours éminemment politique. Il a averti sur un ton menaçant que l'unité nationale est le ciment de tous les Algériens et que personne n'a le droit de jouer sur cette carte.La date de la nationalisation des hydrocarbures a été bien choisie par Abdelmalek Sellal pour recadrer le débat autour de l'unité nationale. « Nous devons sauvegarder l'unité nationale. Après avoir joué la corde de notre religion, ils ont politisé l'Islam. Nous avons atteint 200.000 morts.Aujourd'hui, certains veulent déstabiliser notre pays et jouent avec l'unité nationale ». Une allusion à ces détracteurs qui cherchent par tous les moyens à discréditer l'action gouvernementale. Le Premier ministre a considéré dans son intervention que les opposants de tous bords tentent de déplacer les évènements dans la région du Sud après avoir échoué au Nord.« Ils sèment le doute entre nous. Ils n'ont pas pu remuer le Nord, ils tentent de manipuler le sud du pays. Ils ont essayé de manipuler à Ghardaïa, à Touggourt, à Ouargla et à Djanet cela n'a pas marché, aujourd'hui, ils manipulent à Aïn-Salah.». Des propos qui s'inscrivent dans le contexte d'une actualité brûlante des manifestants anti-gaz de schiste qui ne veulent pas reculer sur leurs revendications. Le chef de l'exécutif a tenu à mettre de l'ordre sur une question qui a été récupérée politiquement par ses adversaires.« Nous avons dit et redit à maintes reprises qu'il n'est pas question d'exploitation. Mais nous devons savoir de quelles réserves nous disposons pour laisser un patrimoine aux générations futures ». Dans le même registre, Sellal a été ferme sur les décisions politiques et les orientations économiques prises par le gouvernement. « Nous sommes maîtres de nos décisions » a-t-il clamé. Pour autant ceci suffit-il pour convaincre les partisans contre le gaz de schiste de ronger leur frein 'Nulle réponse pour l'heure. Sellal n'a pas manqué d'ailleurs de mettre en évidence les efforts de Sonatrach à poursuivre ses activités d'exploration en annonçant à cet effet que « du pétrole a été découvert à Touggourt, Ghardaïa et El- Bayadh ». Ce qui écarte d'emblée la thèse de certains qui ont souligné que l'exploitation du pétrole a atteint ses limites. Le camp de l'opposition, animé par la CNLTD, a toujours joué sur le registre de la panique et de l'affolement en direction de la société civile en dirigeant la critique vers l'exploitation des hydrocarbures.Or, le Premier ministre a rappelé que « 93 % des recettes proviennent des hydrocarbures » et d'ajouter que « 50% des recettes en devises se sont envolées et pourtant nous dépasserons le cap ». Tout ceci doit profiter, selon le chef de l'exécutif, au social que l'Etat continuera à financer. Contrairement à ce qui a été annoncé comme restrictions budgétaires et baisse des transferts sociaux, Sellal a eu les mots pour dire : « A qui serviront nos recettes si elles ne profitent pas au social ' Nous maîtrisons nos affaires ».La date de la nationalisation des hydrocarbures a été bien choisie par Abdelmalek Sellal pour recadrer le débat autour de l'unité nationale. « Nous devons sauvegarder l'unité nationale. Après avoir joué la corde de notre religion, ils ont politisé l'Islam. Nous avons atteint 200.000 morts.Aujourd'hui, certains veulent déstabiliser notre pays et jouent avec l'unité nationale ». Une allusion à ces détracteurs qui cherchent par tous les moyens à discréditer l'action gouvernementale. Le Premier ministre a considéré dans son intervention que les opposants de tous bords tentent de déplacer les évènements dans la région du Sud après avoir échoué au Nord.« Ils sèment le doute entre nous. Ils n'ont pas pu remuer le Nord, ils tentent de manipuler le sud du pays. Ils ont essayé de manipuler à Ghardaïa, à Touggourt, à Ouargla et à Djanet cela n'a pas marché, aujourd'hui, ils manipulent à Aïn-Salah.». Des propos qui s'inscrivent dans le contexte d'une actualité brûlante des manifestants anti-gaz de schiste qui ne veulent pas reculer sur leurs revendications. Le chef de l'exécutif a tenu à mettre de l'ordre sur une question qui a été récupérée politiquement par ses adversaires.« Nous avons dit et redit à maintes reprises qu'il n'est pas question d'exploitation. Mais nous devons savoir de quelles réserves nous disposons pour laisser un patrimoine aux générations futures ». Dans le même registre, Sellal a été ferme sur les décisions politiques et les orientations économiques prises par le gouvernement. « Nous sommes maîtres de nos décisions » a-t-il clamé. Pour autant ceci suffit-il pour convaincre les partisans contre le gaz de schiste de ronger leur frein 'Nulle réponse pour l'heure. Sellal n'a pas manqué d'ailleurs de mettre en évidence les efforts de Sonatrach à poursuivre ses activités d'exploration en annonçant à cet effet que « du pétrole a été découvert à Touggourt, Ghardaïa et El- Bayadh ». Ce qui écarte d'emblée la thèse de certains qui ont souligné que l'exploitation du pétrole a atteint ses limites. Le camp de l'opposition, animé par la CNLTD, a toujours joué sur le registre de la panique et de l'affolement en direction de la société civile en dirigeant la critique vers l'exploitation des hydrocarbures.Or, le Premier ministre a rappelé que « 93 % des recettes proviennent des hydrocarbures » et d'ajouter que « 50% des recettes en devises se sont envolées et pourtant nous dépasserons le cap ». Tout ceci doit profiter, selon le chef de l'exécutif, au social que l'Etat continuera à financer. Contrairement à ce qui a été annoncé comme restrictions budgétaires et baisse des transferts sociaux, Sellal a eu les mots pour dire : « A qui serviront nos recettes si elles ne profitent pas au social ' Nous maîtrisons nos affaires ».


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