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Santé publique à Tlemcen




Santé publique à Tlemcen
Triste constat qu'établit la section de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l'homme (Laddh) concernant la santé publique dans la wilaya de Tlemcen.«Nous constatons non seulement l'insuffisance dans la prise en charge des malades mais, aussi parfois, la négligence des autorités de jouer le rôle des responsables d'un service public au service du citoyen», indique Hammoudi Faleh, président de cette ligue. Ce dernier, dans un communiqué, dénonce «bien qu'ayant pris des rendez-vous pour une IRM au niveau du CHU Tidjani Damerdji, les malades, une fois sur place, sont automatiquement renvoyés du fait que l'appareil nouvellement installé n'est pas opérationnel pour une cause ou une autre, chose qui pousse les malades à avoir recours au privé où les prix sont inaccessibles pour la majorité des citoyens».Pour ce qui est du centre d'imagerie de la CNAS de Maghnia, M. Hammoudi souligne que «les patients doivent attendre de 4 à 6 mois pour accéder à des examens, tandis que chez le privé, cela se fait le jour même de la demande, mais avec des prix exorbitants». Le comble, selon le même communiqué, au niveau de la polyclinique Boudghène, un appareil numérique de radiologie, installé l'année dernière, se trouve en panne depuis 6 mois. Et du coup, «les malades de Boudghène, Sidi Chaker, Riat, El kalaa, etc. sont obligés d'aller vers le secteur privé où la prestation n'est pas remboursable».







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