Algérie

Revêtement en enrobé de la voirie principale de l’USTO



Un travail bâclé, estiment les usagers de la route Les travaux engagés par une entreprise de travaux publics pour le revêtement en enrobé d’un tronçon routier au niveau de la cité USTO ont tout l’air d’être bâclés. Le traitement de la couche de roulement est tel que de nombreux usagers de la route sont contraints, aujourd’hui, de faire des zigzags pour éviter de tomber sur des... obstacles. Pardon dans des... trous ! Le verdict des automobilistes est sans appel, le niveau des regards, à la faveur de cette opération de revêtement conduite au niveau de l’agglomération urbaine de l’USTO, n’a pas été surélevé par rapport au reste de l’axe routier. Un travail d’amateurisme, pour le moins condamnable à cause des malfaçons dont serait responsable l’entreprise qui réalise ce projet. Une situation poussant ainsi les usagers de la route à faire carrément des... slaloms, comme le déplore un automobiliste qui a échappé de justesse à un accident de voiture pour avoir tout simplement évité de tomber dans ces «trous» laissés par l’entreprise à laquelle a été confié ce projet. Un projet d’une enveloppe de deux milliards de centimes, géré par la direction des travaux publics de la wilaya d’Oran de surcroît, comme l’indique une source responsable au niveau de la commune de Bir el Djir afin de mieux situer les responsabilités. «Ce qui est désolant, c’est que le traitement de surface où se trouvent les regards (au moins deux tampons), n’a pas été réalisé selon les normes requises. Mieux, le décapage doit se faire sur toute la largeur de la route en même temps que l’évacuation des déblais qui doit se faire vers une direction afin d’éviter les obstacles. Si au moins on a pensé à l’argent du contribuable», note avec un sentiment de dégoût un conducteur. Autrement, s’interroge t-il, comment peut-on dépenser de l’argent pour un tel projet pour créer un problème pareil ? Cela, bien entendu, sans parler du préjudice causé aux usagers de la route et la circulation piétonne. Le procédé est simple, dixit un spécialiste qui précise que le revêtement en enrobé doit faire l’objet normalement d’une surélévation des parois des regards (tampons) pour atteindre le niveau de la couche de roulement (surface sur laquelle circule le véhicule).



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