Algérie - Revue de Presse


De nombreuses réactions sont parvenues au niveau de notre site web, nous en publions quelques-unes.  Un citoyen : « Lorsque, dans une nation, le système judiciaire condamne l'élite de la presse nationale pour avoir dénoncé les dangers sur la santé publique par la pratique thérapeutique d'un "charlatan" usant de méthodes des plus obscures d'une idéologie religieuse d'un autre âge, c'est que forcément, il y a consensus autour des représentations que l'on se fait de ladite nation par ses hauts responsables ! Ou par défaut, le statut où l'on voudrait bien la placer et l'Etat dans lequel on voudrait bien la situer ! Sachant que les deux piliers sur lesquels repose l'épanouissement du citoyen dans une démocratie, dans un Etat moderne en somme, sont justement l'autonomie de la justice et la liberté de l'information ! On est donc loin, très loin d'aspirer à un quelconque épanouissement en Algérie, du moins dans l'état actuel des choses, à partir du moment que ces deux piliers, que sont la justice et l'information, sont bafoués.C'est pour cela que cette affaire ne doit pas être considérée comme un épisode restreint, il s'agit là, à mon avis, d'un combat essentiel à mener contre ce consensus cité plus haut, car de l'issue de ce combat dépend l'avenir de la nation algérienne, notre responsabilité est historique, pourquoi ' Parce que la Constitution vient d'être adaptée au profit des intérêts de ce consensus, et de leur côté la plus grande bataille est de soumettre ces deux piliers de la nation. Il ne faut rien lâcher, car défendre Omar et Salima, c'est défendre l'avenir de notre nation et encourager tous les autres Omar et Salima qui 'uvrent dans ce sens, c'est créer l'espoir à consolider l'Etat de droit et de liberté nécessaires pour notre émancipation ainsi qu'aux générations à venir. » Un lecteur : « Je crois que Omar et Salima ont payé pour autre chose, ça n'a rien à voir avec cet article, c'est juste une occasion pour les mettre sous les verrous. C'est l'ère d'el moussalaha et du 3e mandat. Je crois que la mobilisation n'est pas si forte. Mobilisons-nous et défendons-les, sinon notre liberté sera enterrée à jamais. » Un lecteur de 66 ans : « Une presse libre, totalement libre, des journalistes libres, totalement libres de tout bord, cela est la garantie démocratique dans un pays respectueux et ce n'est pas le cas d'une justice attenante à un gouvernement, même celui des "mala-ikates". Si je devrais faire obligatoirement un choix, j'opterai pour une presse libre et je sacrifierai la justice et pourtant à laquelle j'y crois. Tout mon soutien au directeur d'El Watan et à la journaliste. » Un enseignant chercheur (université - France) : « Naturellement, je suis consterné par le verdict du pseudo-jugement de notre pauvre semblant de "justice". En tant que citoyen algérien démocrate, pour qui la liberté de la presse est une denrée rare et extrêmement précieuse qu'il faut jalousement défendre, je ne peux que demander au peu de nos dirigeants intègres, aimant leur pays, de reconsidérer ce verdict honteux. Votre journal est l'un des derniers organes de presse algériens qui échappe à la soumission et à la culture de propagande du pouvoir. Vous êtes notre seul espoir pour nous donner envie de lire les informations crédibles concernant notre pays. Sachez bien que vous êtes notre fierté. Bravo pour votre courage. » Un lecteur : « Ils ont mis le pays à genoux, ils n'en sont pas contents, ils veulent le mettre sur le ventre. On est avec vous M. Belhouchet et vous Salima. Tous avec El Watan. Sinon la presse écrite sera la version imprimée du JT. »  >   
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