Algérie

radio-maritime



Les travailleurs sollicitent Amar Tou Les techniciens de la station radiomaritime d?Alger, s?adressant à leur tutelle, le ministère de la Poste et des Technologies de l?information et de la communication (ex-P et T), regrettent que leurs salaires restent « en deçà des efforts fournis ». Comme ils dénoncent le fait qu?en qualité de cadres techniques ayant plus de 20 ans d?ancienneté, leurs émoluments égalent « à peine la moitié des salaires » de leurs anciens collègues, repêchés, rappellent-ils, suite à la restructuration de l?ex-ministère des P et T, soit par Algérie Télécom, soit par Algérie Poste. Travaillant pour le compte de l?Agence nationale de radiomaritime (ANRM), une entité sous tutelle du MPTIC et dont la structuration, selon une source autorisée du département de Amar Tou, est en cours d?élaboration, ils tiennent à dénoncer aussi le « mutisme » de l?administration quant à leur devenir. « On ne nous a pas donné le choix de garder le statut de fonctionnaire ou d?opter pour le statut des deux opérateurs issus du secteur, à savoir Algérie Télécom et Algérie Poste », peut-on lire dans un document adressé au ministre et signé par la section syndicale UGTA. Contacté, le ministère dément catégoriquement les propos émis par ces fonctionnaires. « Nous n?avons forcé personne à rester (au MPTIC). Au contraire, nous avons accordé un délai assez suffisant afin d?opter pour le statut de fonctionnaire ou la mutation (vers AT ou AP). Certains cadres des stations radiomaritimes, ayant émis le v?u de rejoindre les deux opérateurs, nous ont quittés sans aucun problème, et nous pouvons même vous citer leurs noms », tient à préciser un conseiller du ministre. Notre interlocuteur ajoutera : « Le contenu de cet appel est dénué de tout fondement, puisque nous avons rassuré ces travailleurs qu?une fois l?ANRM, officiellement installée, leurs salaires connaîtront une hausse conséquente et même avec rappel. »


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