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PROTECTION CIVILE DE ANNABA



Depuis le début de la saison estivale 2017 à cette fin de semaine, le nombre de dépouilles de personnes décédées suite à des agressions, accidents de la circulation, noyades, par pendaison ou de mort naturelle, transférées par les éléments de la Protection civile vers les morgues des hôpitaux de la wilaya de Annaba, principalement vers le plus important d'entre eux, celui d'Ibn Rochd, n'a cessé de prendre de l'ampleur.Ainsi, Il a été recensé durant cette période près d'une trentaine de décès constatés par les médecins de la Protection civile lors de leurs différentes interventions. Les dernières Interventions pour l'évacuation de corps remonte à la fin de cette semaine seulement. Il s'agit de celui d'une jeune fille âgée de 20 ans, habitant la vieille ville et dont la mort serait suspecte.
En effet, son corps portait de graves blessures au menton et à la tête. Après constatation du décès par le médecin de la Protection civile, le corps de la malheureuse a été évacué à la morgue de l'hôpital Ibn Rochd pour une autopsie. Les éléments de la police judiciaire présents sur les lieux, ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances exactes de cette mort violente. Le deuxième décès concerne un homme âgé de 35 ans et habitant le village de Seraïdi.
Appelés dans la soirée de ce dernier jeudi par un parent du défunt, le médecin accompagnant des éléments de la Protection civile n'a pu que constater la mort naturelle du jeune homme dans son lit chez lui. Le corps du défunt a été évacué vers la morgue de l'hôpital Ibn Rochd. La semaine passée et en l'espace de 24 heures, trois corps de personnes dont l'âge varie de 45 à 78 ans ont été évacués vers la morgue.
Le premier, âgé de 45 ans, a été découvert à la première heure de la journée du jeudi 7 décembre courant étendu en face de l'hôtel Seybouse, le second, âgé de 64 ans, s'est effondré vers 15h au niveau de la gare routière Mohamed-Mounib-Sandid pour ne plus se relever, alors que le troisième et dernier dont l'âge était assez avancé (78) a senti un malaise avant de tomber raide à l'intérieur de la boulangerie où il est employé. Lors de ces trois interventions, le médecin de la Protection civile n'a pu que constater le décès. A chaque fois, les policiers appelés sur les lieux de ces drames ont ouvert une enquête pour déterminer les circonstances de ces morts subites.





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