Algérie

Prix de la Littérature arabe : « Un jour idéal pour mourir » de Samir Kacimi retenu




Prix de la Littérature arabe : « Un jour idéal pour mourir » de Samir Kacimi retenu


Le Prix de la Littérature arabe a dévoilé, il y a quelques jours, les huit (08) livres en lice pour la 9e édition de ce prix créé en 2013.

Dans un communiqué, disponible sur le site internet de l’IMA, il est indiqué que « la sélection de la 9e édition met à l’honneur la grande richesse de la littérature arabe, à travers les romans d’écrivains et d’écrivaines issus de divers pays du monde arabe : l’Algérie, l’Arabie Saoudite, le Liban, le Maroc, la Mauritanie, Oman et la Palestine. »

Avec son roman « Un jour idéal pour mourir », traduit de l’arabe par Lotfi Nia, et paru en France chez Actes Sud et en Algérie aux éditions Barzakh, Samir Kacimi a été sélectionné. Son livre s’intéresse au personnage de Halim Bensadek, un journaliste de 40 ans qui décide de mettre fin à ses jours. « Il tente auparavant de justifier son geste dans une lettre qu’il poste à sa propre adresse, et qui est censée n’y arriver qu’après sa mort. De la sorte, pensait-il, on parlera de lui deux fois dans la presse : le jour de sa mort et le jour où l’on découvrira la lettre. Rien cependant ne va se passer comme il le prévoyait », peut-on lire sur la quatrième de couverture de l’édition algérienne.

La sélection

« Les Corps célestes » (traduit de l’arabe par Khaled Osman) de Jokha Alharthi (Oman), éd. Stéphane Marsan ;
« La Théorie des aubergines » de Leïla Bahsaïn (Maroc), éd. Albin Michel ;
« Monsieur N. » (traduit de l’arabe par Philippe Vigreux) de Najwa M. Barakat (Liban), éd. Actes Sud ;
« Le Silence des horizons » de Beyrouk (Mauritanie), éd. Elyzad ;
« Un jour idéal pour mourir » (traduit de l’arabe par Lotfi Nia) de Samir Kacimi (Algérie), éd. Actes Sud ;
« Dernière oasis » de Charif Majdalani (Liban), éd. Actes Sud ;
« Le Cas critique du dénommé K » (traduit de l’arabe par Simon Corthay) d’Aziz Mohammed (Arabie Saoudite), éd. Actes Sud ;
« Un détail mineur » (traduit de l’arabe par Stéphanie Dujols) d’Adania Shibli (Palestine), éd. Actes Sud).
Pour rappel, « créé en 2013 par la Fondation Jean-Luc Lagardère et l’Institut du monde arabe, le Prix de la Littérature arabe est décerné à un écrivain, ressortissant d’un pays membre de la Ligue Arabe et auteur d’un ouvrage publié – roman, recueil de nouvelles ou de poèmes –, écrit en français ou traduit de l’arabe vers le français. Seule récompense française distinguant la création littéraire arabe, ce Prix est doté d’un montant de 10 000 euros. »


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