Algérie - A la une

Privilégier la légitimité des futurs représentants du peuple



La marche entreprise par le programme politique depuis 99 pour embrasser la stabilité du pays sur tous les fronts a connu différentes étapes. Chacune d'elles s'est distinguée par des " cours " spécifiques et de particularités qui obéissent aux conditions et aux évolutions qui vont de pair avec la dynamique du développement durable. Il est évident qu'une telle entreprise de cette importance soit confiée à la " classe supérieure ", c'est-à-dire au peuple qui devait être au fait de toutes les décisions et de tous les plans d'étapes tout en étant, le principal animateur-acteur de leur réalisation. De plus, la fréquentation " de la société civile par les pouvoirs publics aux bonnes manières de contribution pour décrire ensemble les visions présentes, perspectives à venir et trouver les outils qui conviennent, car il faut connaître tous les secrets et les vérités du langage politique et économique officiels qui mènent au bien-être de la Nation ainsi que la description du futur. Dans son propre intérêt et dans celui des générations suivantes, le peuple doit être, quand il le faut prudent, même l'environnement politique partisan qui l'entoure, se doit de préférer la modération, la justice et l'équité. En ce moment précis, caractérisé par l'avènement des élections législatives, le paysage politique national doit pouvoir prévenir, mettre chaque étape dans son contexte et sa place naturelle, et juger cet événement à sa propre échelle. Au titre de la présente campagne électorale, le citoyen cherche à avoir une idée suffisante, l'intelligence originelle des acteurs politiques et une certaine maturité, donnant à ce scrutin la tournure convenable de l'instant. Aussi, les tribuns qui défendent leurs différents programmes, doivent-ils rivaliser d'ardeur politique sereine et sérieuse pour parfaire la curiosité du citoyen, aussi bien sur des questions politiques, économiques que sociales. Au niveau des pouvoirs publics, toutes les dispositions réglementaires ont été prises en vue de mettre en place le dispositif de sûreté nécessaire du scrutin législatif. Des mesures fortes et d'une offensive juridique, politique et administrative sans précédent dans le sens administration, justice, citoyens et classe politique ayant pour finalité stratégique la réussite et la transparence de cette échéance électorale dont les dimensions politiques différent des précédentes et égales pour tous. Donc, il y a un signe rassurant et peut-être une intervention massive de la machine électorale des citoyens. L'évolution des choses suggère, cependant, cet optimisme . Tout se passe jusqu'à maintenant, malgré quelques " soifs " irréalistes, en effet, dans le cadre de la stratégie électorale incitative à une plus grande participation du corps électoral au scrutin. Pouvoirs publics et classe politique parient, avec une mise plus forte, sur la forte mobilisation de l'électorat par le truchement de la sensibilisation de proximité. En tout état de cause, si le but ultime du moment est d'anéantir le phénomène de l'abstention et des appels au boycott du vote législatif, on peut parier que ceux qui s'inscrivent dans cette case ne gagneront pas la partie d'affaiblir le scrutin. La réussite du scrutin figure parmi les sujets que traitent l'Administration *, les partis et les candidats indépendants. Sur un autre plan, le constat révèle qu'il y a actuellement une bonne prise en main par les autorités centrales et locales des préparatifs. La feuille de route élaborée dès le départ, semble rassembler la valeur de la consensualiste du fait de sa " propreté " en vue d'une élection crédible. Tout en reconnaissant l'extrême importance de l'affirmation de la liberté créatrice de l'électorat, il ne faut pas oublier pour autant que la rigueur de l'esprit civique et la pratique de l'effort de mobilisation sont seules capables d'assurer la pleine et totale maîtrise de l'opération de vote par tout le monde. Il s'agit de mettre à contribution les électrices et les électeurs de façon à privilégier la légitimité des futurs représentants du peuple. Il y a là, sans doute, de quoi redonner c'ur à l'ouvrage et rompre avec les habitudes les plus néfastes pour la " santé " politique et démocratique de la société algérienne et du pays, qui, désormais, a sa place sur le scène mondiale tant économique que politique.


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