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Pourquoi nos «assistants» sont-ils «si pressés» aux signalements '




Pourquoi nos «assistants» sont-ils «si pressés» aux signalements '
Le regretté El Hadj Ahmed Khelifi, maitre incontesté de la réflexion autour des lois du jeu et autres thèmes liés à l'arbitrage, ne ratait aucune occasion de rappeler aux différents formateurs, en insistant et en soulignant en gras, que «s'il faudra du temps pour former un arbitre directeur, il en faudra encore plus et davantage pour former et avoir un bon assistant». Et dire que cette «citation» fait date depuis les années 1980, bien avant que la toute puissante FIFA et l'IFAB ne changent d'appellation de la loi 6 consacrée au «juge de touche» en donnant plus de consistance et d'influence positive à cet acteur devenu «assistant». Le temps finit toujours par donner raison à un visionnaire magistral de la trempe du cardinal. Nos assistants ont-ils compris et appliquent-ils à bon escient la trilogie qui dit : voire, attendre et juger ' Cela requiert beaucoup de maîtrise, de calme, de clarté d'esprit, de présence mentale, de concentration en plus de la disposition (réflexe) physique à toute épreuve. Certains - devenus nombreux (!') - de nos vaillants «assistants» dans la mouture des lois du jeu 2016/2017 devenus «autres arbitres» ne semblent pas faire sienne la dite recommandation. Car à voir les «bourdes» à profusion à chaque journée et à grande influence sur les résultats techniques, on se permet vraiment d'en douter. Combien de fois, la trajectoire du ballon termine sa course sur le joueur qui n'était pas en position illicite ou, encore pire, c'est l'adversaire qui met le ballon dans ses propres filets ' Alors que le signalement a été «déjà» actionné par le refus de la réalisation. En revanche, des buts en nette position de hors jeu de joueurs revenants et tirant profit de leurs positions initiales sont validés sous un relent de scandale.





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