Algérie - A la une

Plusieurs arrestations dans les milieux de l'extrême droite !




Les services de sécurité française ont réussi à déjouer un attentat visant le Président de la République ont indiqué des informations contradictoires. Au moins six individus qui seraient proche de la mouvance de l'extrême droite ont été interpellés par les éléments de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI).En effet, au mois six suspects qui seraient des militants de la mouvance de l'ultra droite, ont été interpellés par les éléments de la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Les interpellations ont eu lieu après que ce groupe de personne seraient sur le point de préparer une action pour le moins que l'on puisse dire «violente» contre la personne du Président de la République M. Emanuel Macron. Certaines informations indiquent que le groupe appréhendé a posté des menaces à l'encontre du chef de l'Etat français. Certaines sources parlent d'action violente de la part de ce groupe contre le Président français. D'autres canaux ont même évoqué un éventuel projet d'attentat à l'encontre de M. Emanuel Macron. Pour l'instant rien n'a été filtré à ce sujet du côté des institutions officielles qui n'ont apporté aucun détail sur cet état de fait. Les individus appréhendés sont âgés respectivement de 22 à 62 ans, ont fait savoir les mêmes sources. Les arrestations interviennent dans le cadre d'une enquête préliminaire ouverte par le parquet de Paris pour association de malfaiteurs terroriste criminelle, a-t-on appris. L'opération menée par les éléments de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) ont eu lieu dans le département de l'Isère, en llle-et-Vilaine et en Moselle. L'un des individus âgé de 62 ans qui a été interpellé résidé normalement dans le département de l'Isère. Il se trouvait en Moselle à une centaine de kilomètres de Verdin ou devrait se rendre mercredi Emanuel Macron. C'est la présence de cet individu dans ce lieu qui auraient contraint les services de sécurité à intervenir afin d'annihiler toute tentative qui serait sur le point d'être commise. En plus des six interpellations, les services de sécurité auraient récupéré dans les domiciles des suspects une arme de poing et des documents subversifs liés à la mouvance de l'extrême droite. Les six individus sont toujours interrogés et la garde à vue peut durer jusqu'à quatre jours selon la nouvelle loi relative au terrorisme. La presse Française a relaté l'information de l'interpellation de ce groupe mais n'a pas été alarmiste au sujet de l'éventuelle action violente. Intervenant à ce sujet devant la presse française, les observateurs et les experts en sécurité ont indiqué que la protection du président de la République n'est pas la préoccupation d'un seul service, aussi prestigieux soit-il. Monsieur Macron et à l'instar des autres hauts chefs d'Etat possède sa garde rapprochée mais tous les services concourent à sa sécurité, à commencer par les services de renseignement qui travaillent sur les menaces en amont, ont-ils fait savoir. Ces derniers ont donné l'exemple de l'opération qui a été menée par les éléments de la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI). A ce même sujet, un spécialiste en la matière à indiqué à un organe de presse que la coordination et la lutte antiterroriste (Uclat) livre également une évaluation régulière de la menace. Ce dernier devait ajouté, je cite : «En réalité, le président est toujours à un niveau de sécurité maximum et ces analyses permettent d'adapter le dispositif pour d'autres personnalités, un ministre, un homme politique étranger en visite en France ou une personnalité particulièrement exposée, dont la sécurité est assurée par le SDLP, le service de protection des hautes personnalités, a-t-il conclu. Dans l'attente des résultats de l'enquête qui déterminerait si oui ou non, les individus interpellés seraient sur le point de commettre une action violente ou un attentat contre le Emanuel Macon, il est a rappelé qu'un projet d'attentat a échoué en 2002. Pour rappel, lors du défilé militaire du 14 juillet 2002, un militant d'extrême droite a tenté d'abattre le président Jacques Chirac alors que ce dernier passe en revue les troupes sur les Champs Elysées. Armé d'une carabine, le jeune homme a manqué sa cible grâce à l'intervention de plusieurs spectateurs. Il a tenté ensuite de se suicider mais échoue à nouveau.


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