Peine de prison en pour la fille de Rafsandjani Iran

La fille de l'ancien président iranien, Akbar Hachémi Rafsandjani, a été condamnée mardi à six mois de prison assortie d'une interdiction de toute activité politique en raison de son implication dans la contestation de la réélection de Mahmoud Ahmadinejad en 2009, rapportent des médias iraniens.
Le procès de Faezeh Hachémi Rafsandjani pour "activisme contre les institutions islamiques" du pays s'était ouvert le mois dernier, rapporte l'agence de presse Isna.
"Ma cliente a été condamnée à six mois de prison et interdite de tout activité culturelle et politique pendant cinq ans", a déclaré son avocat, Gholam-Ali Riyahi, cité par Isna. Elle dispose d'un délai de vingt jours pour faire appel. Sa condamnation prend des allures d'avertissement à l'opposition à l'approche des élections parlementaires du 2 mars, premier scrutin depuis la victoire contestée de Mahmoud Ahmadinejad à l'élection présidentielle de 2009. L'opposition avait alors manifesté son rejet et dénoncé des fraudes massives expliquant, selon elle, la réélection du président iranien. L'ancien chef de l'Etat, Akbar Hachémi Rafsandjani, s'était associé aux dizaines de milliers d'Iraniens qui avaient manifesté leur colère huit mois durant avant d'être sévèrement réprimés.
Sa fille, Faezeh, avait été arrêtée et brièvement détenue après avoir pris la parole devant des partisans Mirhossein Moussavi, un des candidats de l'opposition, lors d'une manifestation interdite par le pouvoir.
Des milliers de personnes, dont des figures d'importance du mouvement réformateur iranien, ont été arrêtées à la suite de la contestation de 2009.
La plupart ont été libérées depuis, mais plus de 80 personnes purgent des peines supérieures à quinze ans de prison ; cinq ont été condamnées à mort.
Mirhossein Moussavi et Mehdi Karoubi, autre figure de l'opposition, sont quant à eux assignés à résidence depuis février dernier.
La fille de l'ancien président iranien, Akbar Hachémi Rafsandjani, a été condamnée mardi à six mois de prison assortie d'une interdiction de toute activité politique en raison de son implication dans la contestation de la réélection de Mahmoud Ahmadinejad en 2009, rapportent des médias iraniens.
Le procès de Faezeh Hachémi Rafsandjani pour "activisme contre les institutions islamiques" du pays s'était ouvert le mois dernier, rapporte l'agence de presse Isna.
"Ma cliente a été condamnée à six mois de prison et interdite de tout activité culturelle et politique pendant cinq ans", a déclaré son avocat, Gholam-Ali Riyahi, cité par Isna. Elle dispose d'un délai de vingt jours pour faire appel. Sa condamnation prend des allures d'avertissement à l'opposition à l'approche des élections parlementaires du 2 mars, premier scrutin depuis la victoire contestée de Mahmoud Ahmadinejad à l'élection présidentielle de 2009. L'opposition avait alors manifesté son rejet et dénoncé des fraudes massives expliquant, selon elle, la réélection du président iranien. L'ancien chef de l'Etat, Akbar Hachémi Rafsandjani, s'était associé aux dizaines de milliers d'Iraniens qui avaient manifesté leur colère huit mois durant avant d'être sévèrement réprimés.
Sa fille, Faezeh, avait été arrêtée et brièvement détenue après avoir pris la parole devant des partisans Mirhossein Moussavi, un des candidats de l'opposition, lors d'une manifestation interdite par le pouvoir.
Des milliers de personnes, dont des figures d'importance du mouvement réformateur iranien, ont été arrêtées à la suite de la contestation de 2009.
La plupart ont été libérées depuis, mais plus de 80 personnes purgent des peines supérieures à quinze ans de prison ; cinq ont été condamnées à mort.
Mirhossein Moussavi et Mehdi Karoubi, autre figure de l'opposition, sont quant à eux assignés à résidence depuis février dernier.