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Ouyahia
Dans une déclaration à une chaine de télévision privée, mise en ligne hier sur le site officiel du parti, Ahmed Ouyahia est revenu sur les consultations informelles conduites actuellement par Abdelmalek Sellal, en vue de la formation du nouveau Gouvernement.Dans une déclaration à une chaine de télévision privée, mise en ligne hier sur le site officiel du parti, Ahmed Ouyahia est revenu sur les consultations informelles conduites actuellement par Abdelmalek Sellal, en vue de la formation du nouveau Gouvernement.«Le RND n'a pas à être consulté, nous sommes depuis 1997 (date de création du parti), dans des Gouvernements de coaltions, dont certains conduits par le RND même, nous ne voyons vraiment pas d'inconvénients à ce que le futur Gouvernement soit élargi à d'autres formations politiques », a-til tenu à clarifier.«S 'agissant de la formation du Gouvernement, après consultation du premier ministre, selon la constitution, c'est une prérogative du président de la République », a-t-il tenu également à rappeller. Ahmed Ouyhaia s'est félicité, une nouvelle fois, de la centaine de sièges obtenus par son parti, en attendant l'examen par le Conseil constitutionnel de 18 recours introduits par son parti.Il rappelle à ce propos que 35 députés ont été réélus, que le ratio des femmes est plus élévé que la précédente législature et qu'enfin, plus de 70 % des élus ont un niveau universitaire, voire en post graduation. « Le RND est un parti qui ne fait pas du tapage et qui ne crée pas des tensions au sujet du nombre de sièges, le RND ne vend pas et n'achète pas. Nous avons une culture d'Etat, on est là pour apporter ce qu'on peut pour l'intérêt de l'Etat Algérien » ,dit-il en référence à la polémique sur la régularité des élections. S'agissant des accusations de fraude brandies par des partis de l'opposition, Ouyhaia estime que son parti ne saurait franchir « la ligne rouge » qui consiste à dire qu'il existe « une fraude massive et délibérée », ajoutant que chacun est responsable de ses déclarations. « La crédibilité des élections est la crédibilité de l'Algérie », insiste-t-il.Pour rappel, Abderrazak Makri, le président du Mouvement pour la Société de la Paix (MSP), a affirmé avoir reçu une proposition d'intégrer le gouvernement de la part du président Abdelaziz Bouteflika, dans un communiqué publié mercredi 10 mai sur sa page facebook. M. Makri a indiqué avoir rencontré le Premier ministre Abdelmalek Sellal.Ce dernier lui a confié que la proposition émane du président de la République Abdelaziz Bouteflika. "Il [Sellal] m'a affirmé qu'il s'agit d'une demande du président de la République", a écrit le chef du MSP.«Le RND n'a pas à être consulté, nous sommes depuis 1997 (date de création du parti), dans des Gouvernements de coaltions, dont certains conduits par le RND même, nous ne voyons vraiment pas d'inconvénients à ce que le futur Gouvernement soit élargi à d'autres formations politiques », a-til tenu à clarifier.«S 'agissant de la formation du Gouvernement, après consultation du premier ministre, selon la constitution, c'est une prérogative du président de la République », a-t-il tenu également à rappeller. Ahmed Ouyhaia s'est félicité, une nouvelle fois, de la centaine de sièges obtenus par son parti, en attendant l'examen par le Conseil constitutionnel de 18 recours introduits par son parti.Il rappelle à ce propos que 35 députés ont été réélus, que le ratio des femmes est plus élévé que la précédente législature et qu'enfin, plus de 70 % des élus ont un niveau universitaire, voire en post graduation. « Le RND est un parti qui ne fait pas du tapage et qui ne crée pas des tensions au sujet du nombre de sièges, le RND ne vend pas et n'achète pas. Nous avons une culture d'Etat, on est là pour apporter ce qu'on peut pour l'intérêt de l'Etat Algérien » ,dit-il en référence à la polémique sur la régularité des élections. S'agissant des accusations de fraude brandies par des partis de l'opposition, Ouyhaia estime que son parti ne saurait franchir « la ligne rouge » qui consiste à dire qu'il existe « une fraude massive et délibérée », ajoutant que chacun est responsable de ses déclarations. « La crédibilité des élections est la crédibilité de l'Algérie », insiste-t-il.Pour rappel, Abderrazak Makri, le président du Mouvement pour la Société de la Paix (MSP), a affirmé avoir reçu une proposition d'intégrer le gouvernement de la part du président Abdelaziz Bouteflika, dans un communiqué publié mercredi 10 mai sur sa page facebook. M. Makri a indiqué avoir rencontré le Premier ministre Abdelmalek Sellal.Ce dernier lui a confié que la proposition émane du président de la République Abdelaziz Bouteflika. "Il [Sellal] m'a affirmé qu'il s'agit d'une demande du président de la République", a écrit le chef du MSP.


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