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Onorientour
Cinq mois durant, quatre jeunes d'origine maghrébine effectueront un périple à la découverte des scènes culturelles émergentes du monde arabe. Le top départ de cette initiative originale sera donné le 13 septembre. Pour alimenter le site Onorient créé il y a plus de deux ans, Hajar Chokairi, Ghita Chilla, Oumayma Ajarrai et Mehdi Drissi sont à l'affût des dernières tendances artistiques du monde arabe.Cinq mois durant, quatre jeunes d'origine maghrébine effectueront un périple à la découverte des scènes culturelles émergentes du monde arabe. Le top départ de cette initiative originale sera donné le 13 septembre. Pour alimenter le site Onorient créé il y a plus de deux ans, Hajar Chokairi, Ghita Chilla, Oumayma Ajarrai et Mehdi Drissi sont à l'affût des dernières tendances artistiques du monde arabe.Des figures bien connues en Occident comme le trompettiste Ibrahim Maalouf, le romancier Abdellah Taïa ou le réalisateur Lyes Salem aux talents plus confidentiels du groupe de rock jordanien Akher Zapheer ou du caricaturiste Hani Abbas, leur curiosité partageuse les a menés de rencontre en rencontre.De surprise en étonnement. Ces quatre jeunes ont souhaité donner de l'ampleur à cette expérience journalistique menée en parallèle de leurs études en France. Le projet Onorientour est donc né de cet ensemble. Le 13 septembre donc, les quatre jeunes gens commenceront par le Maroc un voyage de cinq mois à travers le monde arabe (Maroc, Tunisie, Algérie, Egypte, Liban, Emirats arabes unis et Qatar) à la découverte d'artistes et de lieux culturels émergents.Leur but : dresser une cartographie de ces foyers créatifs, nourrie d'articles et de vidéos qui seront centralisés sur une plateforme interactive. Contre les clichés orientalistes et les sentiers battus de l'art, désireux de montrer à leur lectorat occidental des visages arabes absents des médias, ces explorateurs qui se placent sous le haut patronage d'Ibn Battûta tisseront, au cours de leurs pérégrinations, une réflexion sur la notion d'arabité dans l'art contemporain.Un fil rouge prometteur de récits vifs et intelligents, qui donneront à penser des deux côtés de la Méditerranée. Dans chaque pays, un workshop réunira aussi artistes et citoyens autour de cette thématique. Onorientour a déjà reçu le soutien de plusieurs personnalités, telles que le romancier Yasmina Khadra, l'universitaire Tarik Ramadan, le président de l'Institut du monde arabe Jack Lang ou encore le réalisateur Nabil Ayouch. Une campagne Ulule a été mise en place pour financer le projet.Des figures bien connues en Occident comme le trompettiste Ibrahim Maalouf, le romancier Abdellah Taïa ou le réalisateur Lyes Salem aux talents plus confidentiels du groupe de rock jordanien Akher Zapheer ou du caricaturiste Hani Abbas, leur curiosité partageuse les a menés de rencontre en rencontre.De surprise en étonnement. Ces quatre jeunes ont souhaité donner de l'ampleur à cette expérience journalistique menée en parallèle de leurs études en France. Le projet Onorientour est donc né de cet ensemble. Le 13 septembre donc, les quatre jeunes gens commenceront par le Maroc un voyage de cinq mois à travers le monde arabe (Maroc, Tunisie, Algérie, Egypte, Liban, Emirats arabes unis et Qatar) à la découverte d'artistes et de lieux culturels émergents.Leur but : dresser une cartographie de ces foyers créatifs, nourrie d'articles et de vidéos qui seront centralisés sur une plateforme interactive. Contre les clichés orientalistes et les sentiers battus de l'art, désireux de montrer à leur lectorat occidental des visages arabes absents des médias, ces explorateurs qui se placent sous le haut patronage d'Ibn Battûta tisseront, au cours de leurs pérégrinations, une réflexion sur la notion d'arabité dans l'art contemporain.Un fil rouge prometteur de récits vifs et intelligents, qui donneront à penser des deux côtés de la Méditerranée. Dans chaque pays, un workshop réunira aussi artistes et citoyens autour de cette thématique. Onorientour a déjà reçu le soutien de plusieurs personnalités, telles que le romancier Yasmina Khadra, l'universitaire Tarik Ramadan, le président de l'Institut du monde arabe Jack Lang ou encore le réalisateur Nabil Ayouch. Une campagne Ulule a été mise en place pour financer le projet.




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