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La Conservation foncière d'Alger-Centre submergée

Le service de la Conservation d'Alger-Centre est totalement submergée par la gestion des biens fonciers privés et de l'Etat. En dépit du manque de moyens, le service de la Conservation, situé à la place du 1er Novembre (Alger), délivre pas moins de 1500 réquisitions (copies d'acte) par mois. Un chiffre record réalisé dans des conditions de travail archaïques. Sur les lieux, on a pu constater la colère des demandeurs, suite aux retards occasionnés dans la délivrance des actes. «Nous travaillons avec les moyens qui sont mis à notre disposition. Il arrive parfois que notre service manque de papier pour imprimante, de cartouches d'encre pour machine, etc.», dira un employé. Malgré ces difficultés, les employés de la Conservation d'Alger-Centre, qui relève du ministère des Finances, se démènent pour satisfaire les demandes des citoyens.

De la prison pour des demandeurs de logement

Accusées d'attroupement et de destruction de biens publics, huit personnes, dont une en fuite, ont été condamnées par le tribunal pénal de Bordj Menaïel, lundi dernier, à de lourdes peines de prison. L'une d'elles, M. Sadek, a écopé d'une peine de 2 ans de prison ferme. Ses coaccusés ont été condamnés à dix mois de prison ferme. Lors du procès, tenu au début de la semaine écoulée, le procureur de la République a requis à leur encontre un an de prison ferme. Les faits remontent au mois d'août dernier, quand les concernés avaient observé un rassemblement devant le siège de la daïra de Bordj Menaïel, pour protester contre leur retrait de la liste des bénéficiaires des 494 logements sociaux par la commission de recours de la wilaya. Mais les protestataires accusent l'administration locale de n'avoir pas appliqué la loi à tout le monde. Les avocats de la défense qualifient le verdict de très sévère. Ils disent avoir décidé de faire appel. Les accusés ont observé un rassemblement pacifique devant le siège de la daïra juste pour attirer l'attention des autorités concernées.

Un colloque international sur les risques sismiques

A l'occasion du 32e anniversaire du tremblement de terre, qui avait ébranlé la région de Chlef le 10 octobre 1980 et du 40e anniversaire de la création de l'organisme national de Contrôle technique de la construction (CTC), la bibliothèque centrale de l'université Hassiba Ben Bouali de Chlef a abrité, hier, un colloque international sur le thème «Réduction du risque sismique».
Les participants ont procédé à une «évaluation des études et recherches menées dans le domaine sismique», tout comme ils aborderont les «difficultés liées à la mise en 'uvre des nouveaux textes normatifs».
Il a été aussi question des normes de construction dans notre pays, à la lumière des principaux instruments juridiques et techniques promulgués depuis les violents séismes de Chlef et de Boumerdès.
Un terrien sur sept souffre de la faim

Un habitant sur huit dans le monde, soit près de 900 millions de personnes, souffre de sous-alimentation chronique, a indiqué l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), dans son dernier rapport. Plus de 850 millions de personnes souffrant de la faim vivent dans les pays en développement, soit 15% de la population. Les pays développés ne sont pas en reste, puisque le rapport de la FAO a révélé que 16 millions de personnes sont en état de sous-alimentation dans ces pays.
Paradoxalement, le nombre total de personnes sous-alimentées a baissé à travers la planète de 132 millions entre 1990-92 et 2010-2012, ou de 18,6% à 12,5% de la population mondiale, et de 23,2% à 14,9% dans les pays en développement, ce qui met l'Objectif du millénaire pour le développement (OMD) à portée de la main, si des mesures appropriées sont prises, a précisé la FAO.


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