Algérie - A la une


On vous le dit
- Le recteur de la faculté d'Alger se désole de la «fausse polémique»Le recteur de la faculté d'Alger, Tahar Hadjar, se désole de voir l'affaire de la «jupe courte» prendre des proportions qu'elle ne mérite pas. Une «fausse polémique» qui, selon lui, détourne le débat sur les véritables préoccupations du monde universitaire.Pour Hadjar, qui s'est exprimée sur certains médias nationaux , l'essentiel est que la jeune fille ait pu par la suite entrer et concourir à son examen. Selon le recteur, le gardien a cru bien faire en empêchant la jeune fille de rentrer, estimant que sa tenue n'était pas correcte. « Bien que le problème ait été réglé, on a voulu monter en épingle cet incident pour accuser l'université de conservatisme et d'intégrisme», a affirmé Hadjar. Des accusations qu'il rejette totalement. Espérons que le recteur de l'université d'Alger a donné des instructions pour que ce genre de problème ne se répète plus.- Saisie de 766 caméras infrarouges à SétifLa brigade mobile de l'inspection des Douanes de Sétif vient de mettre la main sur 766 caméras infrarouge, 27 DVR et 54 vidéophones. Cette importante prise fait suite à l'exploitation d'informations se rapportant à un tel trafic. Destinée pour un citoyen de Aïn Kebira (chef-lieu de daïra situé à 27 km au nord de Sétif), une caméra numérique a été par ailleurs saisie par les douaniers en charge du contrôle des colis postaux. De son côté, la brigade de Bordj Bou Arréridj a coincé un véhicule recherché de marque Land Rover. L'on apprend en outre que les douaniers en faction à l'aéroport Abane Ramdane de Béjaïa ont, quant à eux, intercepté un talkie-walkie, 4365 euros non déclarés, un fusil de chasse de type «manu-arm 42»,10 bouteilles de Valium, 302 comprimés de psychotropes et des bijoux contrefaits.- Les Algériens sont-ils des fraudeurs 'Un citoyen s'est présenté aux services des impôts de Ben Aknoun pour s'enquérir du barême de la déclaration d'impôt sur un bien qu'il compte acquérir dans la commune. L'inpecteur qui le reçoit entre deux portes l'informe qu'il n'existe pas de barême et que la référence c'est le marché parallèle (!). Autrement dit, c'est l'Etat qui s'aligne sur les spéculateurs au lieu de les combattre. D'étonnement en étonnement, le citoyen apprend de la bouche du même inspecteur que quel que soit le montant de la déclaration, même si celle-ci est adossée sur le cours du marché immobilier parrallèle, il n'échappera pas à un redressement systématique au niveau de la direction générale. L'ennui, c'est que le marché particulier est par essence un marché libre du point de vue des prix. Comment alors voir juste pour ne pas subir les foudres des services des impôts ' Les véritables fraudeurs ne se posent pas toutes ces questions kafkaiennes.


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