Algérie - Revue de Presse


L?agresseur d?une jeune fille arrêté L?auteur de l?agression à l?arme blanche qui a failli coûter la vie à la victime a été interpellé. L?incident qui s?est déroulé devant le bureau de poste de la pépinière avait jeté l?émoi parmi la population. D?autant que des témoins avaient répandu l?information que la jeune fille avait été égorgée par celui qui s?avère être son ex-fiancé. Agé de 24 ans, ce dernier venait de purger une peine de prison suite à un procès dans lequel sa fiancée était partie civile. Le jeune homme aurait juré de se venger. C?est ainsi qu?il viendra attendre cette employée du tribunal à la sortie du bureau de poste pour tenter de l?égorger. Transportée en sang aux urgences, la jeune fille rejoindra rapidement son domicile avec une large plaie au visage, une grosse frayeur et une ITT de 30 jours. Les vacances confisquées Dans certains lycées de la ville, les vacances d?hiver auront, pour la seconde année consécutive, été amputées d?une semaine. En effet, pour certaines matières de base, les élèves des classes de terminales ont été appelés à venir prendre des cours. L?initiative qui peut paraître louable semble entachée de suspicion comme nous le signalerons d?autres enseignants ayant carrément refusé de se plier à cette directive. Ces derniers remettent d?abord en cause l?idée d?amputer les vacances qui ont un effet pédagogique certains, d?où leur institution. Ensuite, autant ils admettent que pour des élèves en difficulté, leurs collègues se dévouent pour assurer des cours de rattrapage, autant ils crient leur révolte à l?idée que ces cours soient systématiquement portés au crédit du programme annuel. Ainsi, les élèves qui n?assisteraient pas à ces cours seraient définitivement distancés à la reprise. Il y a enfin le fâcheux problème de la rémunération de ces cours que certains semblent avoir occulté, pensant naïvement qu?il s?agissait d?une louable action caritative. La question que parents d?élèves, enseignants réfractaires et lycéens se posent est de savoir pourquoi le maintien de ces cours dont ne semblent profiter que ceux qui les assument, notamment en terminant leur programme plus tôt que leurs collègues. Ce qui les mettrait automatiquement en vacances dès le mois de mai, comme le fera remarquer ce professeur de sciences sociales qui réprouve totalement le recours à cette pratique.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)