Algérie

Nos volleyeuses sont-elles des voleuses '


Nos volleyeuses sont-elles des voleuses '
C'est du moins ce qu'a rapporté la presse française et catégoriquement démenti par le président de la Fédération algérienne de volley-ball '
Qui a tort et qui raison ' Si cette information se confirme, elle n'est pas la première du genre et si celle-ci s'avère fausse, le pourquoi de sa publication s'impose de lui-même ' Le journal l'ayant divulguée a trop appuyé sur la champignon d'accélérateur pour que cette information passe sous silence chez nous. Le président de la délégation a avancé une histoire qui ne tient pas la route pour blanchir ces volleyeuses. Selon ses dires, l'une d'elles a eu un malaise qui a suscité un attroupement. La curiosité d'un journaliste présent sur les lieux étant réveillé, il n'a pas laissé l'occasion lui filer entre les doigts pour ternir l'image de ces volleyeuses, et par ricochet celle de l'Algérie. Vraiment ! A dormir debout. Sans aller jusqu'à être affirmatif, tout le monde le sait qu'il n'y a jamais de fumée sans feu. Il faut être dupe pour avaler cette histoire de malaise que jette l'opprobre sur les sportifs algériens. Même dans le cas où ces volleyeuses soient innocentes, l'image du pays est ternie. Mais quel profit tire-t-il ce journaliste pour publier une fausse information ' Là est toute la question. De toutes les manières, le mal est fait et il faudrait vraiment que le journal en question se rétracte en publiant une mise au point pour laver l'affront. Et encore. Bien entendu, cette histoire risque de faire couler beaucoup d'encre si jamais cette information venait à être confirmée. En attendant, notre sport vient encore une fois d'être secoué par un autre scandale durant cet été. Zahra Bouras et Larbi Bouraâda contrôlés positifs aux anabolisants ont ouvert le bal des scandales relayés par les volleyeuses même si pour l'instant l'information reste au stade de l'information. A qui donc le tour pour meubler ces journées de grande chaleur ' A demain.


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