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MOHAMED TAHRICHI QUESTIONNE LES NOTIONS DE SACRE ET PROFANE DANS LE DIWANE De la désacralisation du rituel




MOHAMED TAHRICHI QUESTIONNE LES NOTIONS DE SACRE ET PROFANE DANS LE DIWANE De la désacralisation du rituel
Le cycle de conférences, qui se tient en marge de la compétition et des soirées artistiques du Festival national de la musique diwane à la Maison de la culture de Béchar, a été entamé hier matin par la projection d'une rétrospective de l'édition précédente du festival, et a été suivi par une conférence intitulée "Le diwane, du profane au sacré, au profane encore une fois", et animée par Mohamed Tahrichi, doyen de la faculté des lettres (université de Béchar). M. Tahrichi a d'abord expliqué que l'existence même de l'art détermine les relations entre les hommes et leur environnement. "Ce sont des énergies expressives que l'artiste traduit pour les transmettre aux autres. Et la fête constitue un lieu où se rencontre le sacré (constant) et le profane (variable)", a-t-il estimé.
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