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Mise en service de l'AEP de Tamalous et Beni Ouelbane Skikda, barrage de Guenitra



Mise en service de l'AEP de Tamalous et Beni Ouelbane Skikda, barrage de Guenitra
Les populations des communes de Tamalous et de Beni Ouelbane et leurs zones environnantes (ouest de Skikda) peuvent, désormais, s'abreuver à partir des eaux du barrage de Guenitra d'une capacité de 120 millions de mètres cubes, a-t-on appris, lundi, des services de la wilaya. La commune de Tamalous a déjà reçu ses premières dotations du précieux liquide depuis le 27 mai passé, alors que Beni Ouelbane sera alimentée en eau, dès le 15 juin prochain en attendant d'alimenter la population d'Oum Toub à partir du même barrage en fin d'année, affirme la même source.
Les populations des communes de Tamalous et de Beni Ouelbane et leurs zones environnantes (ouest de Skikda) peuvent, désormais, s'abreuver à partir des eaux du barrage de Guenitra d'une capacité de 120 millions de mètres cubes, a-t-on appris, lundi, des services de la wilaya. La commune de Tamalous a déjà reçu ses premières dotations du précieux liquide depuis le 27 mai passé, alors que Beni Ouelbane sera alimentée en eau, dès le 15 juin prochain en attendant d'alimenter la population d'Oum Toub à partir du même barrage en fin d'année, affirme la même source.
La mise en service de l'AEP au niveau des deux communes est devenue une réalité grâce au mégaprojet de transfert des eaux lancé dans le cadre d'un investissement public pour alimenter en eau potable une population globale de 130.000 habitants établie sur toute l'étendue d'un couloir tracé sur le territoire des communes de Tamalous, Aïn Kechera, Oueldja Boulbellout, Sidi Mezghiche et Beni Ouelbane et leurs agglomérations environnantes à partir du barrage de Guenitra.
Un projet scindé en trois tranches et dont le coût de réalisation global a été estimé à 4,85 milliards DA, apprend-on de même source. La première tranche des travaux, qui a nécessité la mobilisation d'une enveloppe financière de l'ordre de 1,3 milliard DA, a consisté à réaliser une station de traitement pour le barrage de Guenitra, a expliqué la même source.
La deuxième tranche, d'une autorisation de programme de 2.24 milliards DA, consistera à réaliser un réseau d'adductions principales en fonte de différents diamètres étendues sur 95 km et la construction et l'équipement de six stations de pompage ainsi que dix-sept réservoirs d'une capacité globale de 16.000 m3.
Une autorisation de programme de 1,3 milliard DA a été mobilisée pour le financement de la troisième tranche qui comprendra, quant à elle, la réalisation des extensions du réseau d'adductions en fonte de différents diamètres sur un linéaire de 70 km en plus de la construction et l'équipement de onze stations de pompage et vingt-quatre réservoirs d'une capacité totale de 12.000 m3.
La mise en service de l'AEP au niveau des deux communes est devenue une réalité grâce au mégaprojet de transfert des eaux lancé dans le cadre d'un investissement public pour alimenter en eau potable une population globale de 130.000 habitants établie sur toute l'étendue d'un couloir tracé sur le territoire des communes de Tamalous, Aïn Kechera, Oueldja Boulbellout, Sidi Mezghiche et Beni Ouelbane et leurs agglomérations environnantes à partir du barrage de Guenitra.
Un projet scindé en trois tranches et dont le coût de réalisation global a été estimé à 4,85 milliards DA, apprend-on de même source. La première tranche des travaux, qui a nécessité la mobilisation d'une enveloppe financière de l'ordre de 1,3 milliard DA, a consisté à réaliser une station de traitement pour le barrage de Guenitra, a expliqué la même source.
La deuxième tranche, d'une autorisation de programme de 2.24 milliards DA, consistera à réaliser un réseau d'adductions principales en fonte de différents diamètres étendues sur 95 km et la construction et l'équipement de six stations de pompage ainsi que dix-sept réservoirs d'une capacité globale de 16.000 m3.
Une autorisation de programme de 1,3 milliard DA a été mobilisée pour le financement de la troisième tranche qui comprendra, quant à elle, la réalisation des extensions du réseau d'adductions en fonte de différents diamètres sur un linéaire de 70 km en plus de la construction et l'équipement de onze stations de pompage et vingt-quatre réservoirs d'une capacité totale de 12.000 m3.


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