Algérie

Manifestation à Benghazi pour le désarmement des milices armées Libye



De nombreux Libyens se sont rassemblés dimanche sur la place des martyrs à Benghazi, dans l'est du pays, pour réclamer le désarmement des groupes et milices armés dans la ville, plus de deux mois après la chute du régime de Mouammar Kadhafi.
Dans un communiqué, les manifestants ont exprimé leur rejet de toute forme du port illégal d'armes dans cette ville, située à un millier de kilomètre à l'ouest de la capitale Tripoli.
Ils appellent aussi à ce que cette armée nationale "soit formée sur des fondements devant répondre aux besoins d'un nouvel Etat démocratique, et d'un Etat de droit, de justice, jouissant de solides institutions et de sécurité".
Fin novembre dernier, les Nations unies ont exprimé leurs inquiétudes face à la prolifération des armes en Libye après les neuf mois du conflit qui s'est transformé en guerre civile ayant conduit à la chute du régime de Mouammar Kadhafi, arrêté puis tué par balle à Syrte.
Plusieurs manifestations réclamant le désarmement des milices avaient eu lieu aussi dans la capitale Tripoli.
Le nouveau gouvernement libyen, dirigé par le Premier ministre Abd Al-Rahim Al-Kib, s'est engagé à résoudre cette question estimant qu'elle est "complexe".
Début décembre, le gouvernement de transition a appuyé les revendications de la rue, en donnant un délai de deux semaines aux milices pour quitter la capitale et en promettant le désarmement de la capitale avant la fin de l'année 2011.
Dans ce cadre, les nouvelles autorités du pays ont promis d'intégrer au début de l'année 2012 quelque 50.000 ex-rebelles (Thowars) dans les rangs de l'armée nationale libyenne.
Bahreïn
Des manifestations font
1 mort et 1 blessé
Une personne a été tuée par le tir d'une bombe lacrymogène de la police lors de manifestations samedi à Bahreïn, a affirmé dimanche le principal mouvement de l'opposition (le Wefaq) dans un communiqué.
L'adolescent "a été atteint d'un tir tendu à la tête" tandis qu'une personne qui tentait de le secourir a été blessé par un tir de la police, a affirmé la même source.
La police anti-émeutes de Bahreïn est intervenue samedi pour forcer des manifestants à cesser de manifester devant leurs maisons, avait indiqué un ancien élu de l'opposition, Matar Matar.
Le gouvernement a également annoncé dans un communiqué, l'arrestation de plusieurs suspects à la suite de cet incident qui a endommagé un véhicule de la police.
De nombreux Libyens se sont rassemblés dimanche sur la place des martyrs à Benghazi, dans l'est du pays, pour réclamer le désarmement des groupes et milices armés dans la ville, plus de deux mois après la chute du régime de Mouammar Kadhafi.
Dans un communiqué, les manifestants ont exprimé leur rejet de toute forme du port illégal d'armes dans cette ville, située à un millier de kilomètre à l'ouest de la capitale Tripoli.
Ils appellent aussi à ce que cette armée nationale "soit formée sur des fondements devant répondre aux besoins d'un nouvel Etat démocratique, et d'un Etat de droit, de justice, jouissant de solides institutions et de sécurité".
Fin novembre dernier, les Nations unies ont exprimé leurs inquiétudes face à la prolifération des armes en Libye après les neuf mois du conflit qui s'est transformé en guerre civile ayant conduit à la chute du régime de Mouammar Kadhafi, arrêté puis tué par balle à Syrte.
Plusieurs manifestations réclamant le désarmement des milices avaient eu lieu aussi dans la capitale Tripoli.
Le nouveau gouvernement libyen, dirigé par le Premier ministre Abd Al-Rahim Al-Kib, s'est engagé à résoudre cette question estimant qu'elle est "complexe".
Début décembre, le gouvernement de transition a appuyé les revendications de la rue, en donnant un délai de deux semaines aux milices pour quitter la capitale et en promettant le désarmement de la capitale avant la fin de l'année 2011.
Dans ce cadre, les nouvelles autorités du pays ont promis d'intégrer au début de l'année 2012 quelque 50.000 ex-rebelles (Thowars) dans les rangs de l'armée nationale libyenne.
Bahreïn
Des manifestations font
1 mort et 1 blessé
Une personne a été tuée par le tir d'une bombe lacrymogène de la police lors de manifestations samedi à Bahreïn, a affirmé dimanche le principal mouvement de l'opposition (le Wefaq) dans un communiqué.
L'adolescent "a été atteint d'un tir tendu à la tête" tandis qu'une personne qui tentait de le secourir a été blessé par un tir de la police, a affirmé la même source.
La police anti-émeutes de Bahreïn est intervenue samedi pour forcer des manifestants à cesser de manifester devant leurs maisons, avait indiqué un ancien élu de l'opposition, Matar Matar.
Le gouvernement a également annoncé dans un communiqué, l'arrestation de plusieurs suspects à la suite de cet incident qui a endommagé un véhicule de la police.
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