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Mal de gorge
L'inflammation de l'oropharynx est la cause des maux de gorge qui vont se manifester de différentes façons : gorge qui picote, voix enrouée ou déglutition difficile !«J'ai du mal à avaler»Votre gorge est douloureuse, comme nouée, d'où des difficultés à déglutir, accompagnées parfois de fièvre (souvent élevée mais qui baisse rapidement) ' C'est sûrement une angine, signe d'une inflammation au niveau du pharynx ou des amygdales. Une angine virale peut faire aussi mal qu'une angine bactérienne, mais le traitement n'est pas du tout le même.Les solutions : Penser à boire chaud car la chaleur est naturellement anesthésiante.Des pastilles ou gommes à sucer pendant 5 jours au maximum (ce ne sont pas des bonbons...). Une pastille efficace contient un anesthésique local (qui se termine souvent en «aïne» comme lidocaïne ou tétracaïne) pour atténuer la douleur, associée à un antiseptique pour éviter la surinfection. Si elle contient aussi du miel, c'est un plus.Pas d'anti-inflammatoire. En cas de forte douleur, on peut être tenté d'y associer de l'ibuprofène : certaines pastilles pour la gorge (Strefen) en contiennent d'ailleurs, mais on les déconseille en raison du risque de surinfection bactérienne que cela peut entraîner. Mieux vaut opter pour le paracétamol pour apaiser la douleur. Le mieux est d'associer pastilles et sprays, car le spray va agir plus localement et immédiatement, et les pastilles vont faire saliver et agir sur la durée.Les pastilles ou des sprays à base d'anesthésiants sont efficaces contre la douleur, mais mieux vaut éviter de les prendre dans la demi-heure qui précède un repas pour éviter les fausses routes.Le coeur des femmes fragile après un AVCSelon un travail néerlandais, les femmes victimes d'un événement cardiovasculaire à la quarantaine présentent des niveaux de risque de récidive élevés. Et ce sur le long terme. D'où l'importance de mettre en place un suivi très régulier.Des chercheurs néerlandais se sont intéressés à des femmes ayant survécu à un infarctus du myocarde ou à un accident vasculaire cérébral (AVC). Au total, 386 patientes (moyenne d'âge de 41 ans) ont été incluses dans l'étude. Leur état de santé a été comparé à celui d'autres femmes (782) sans antécédent de maladies cardiovasculaires. Les chercheurs ont suivi l'ensemble des participantes pendant 19 ans.Chez les victimes d'un infarctus du myocarde, le risque de décès était ainsi 3,7 fois plus élevé comparé au groupe contrôle. Concernant l'AVC, les auteurs ont observé une multiplication de ce risque supérieur par 1,8. Dans la majorité des cas, il s'agissait d'une récidive d'accident cardiovasculaire. Les auteurs recommandent ainsi la mise en place d'un suivi très régulier de ces femmes, notamment au niveau de la prévention secondaire.Ce constat est d'autant plus important que les femmes sont de plus en plus concernées par les maladies cardiovasculaires et ce, de plus en plus jeunes.







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