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Les risques sont minimes en Algérie


Le chef du service infectiologie du CHU d'Oran, le professeur Mouffok, a estimé, hier, que le risque d'épidémie au virus Zika est minime en Algérie, mais se pose néanmoins avec la possibilité de cas importés.Le chef du service infectiologie du CHU d'Oran, le professeur Mouffok, a estimé, hier, que le risque d'épidémie au virus Zika est minime en Algérie, mais se pose néanmoins avec la possibilité de cas importés.Le praticien a expliqué, au cours d'une journée de formation sur la fièvre Zika, au profit des praticiens du CHUO, que les deux variétés du moustique Aedes, vecteurs de transmission du virus, n'existent pas en Algérie.Toutefois "enregistrer des cas importés n'est à exclure", a-t-il ajouté. "Même si aucun cas n'a été enregistréjusqu'à présent en Algérie, les praticiens doivent être prêts à prendre en charge des cas de malades atteints du virus Zika", a noté le Pr Moufok , ajoutant que le "flux des voyageurs venant ou se rendant vers des pays ayant enregistré des épidémies de ce type peut conduire à l'importation de cette fièvre".Quelque 59 pays d'Amérique latine, du Sud-Est asiatique et de l'Afrique Australe ont été touchés par l'épidémie de 2016, la plus grande et plus étendue depuis l'isolation du virus en 1959. L'OMS a déclaré, à cet effet, la fièvre Zika comme une urgence de santé publique. Selon les spécialistes, la transmission du virus Zika est principalement vectorielle (par des moustiques).D'autres modes de transmission sont toutefois possibles comme le mode périnatal (de la mère à l'enfant) et le mode sexuel. Les sujets atteints par le virus Zika peuvent présenter une fièvre modérée, une éruption cutanée, une conjonctivite, des douleurs musculaires et articulaires, un état de malaise ou des céphalées, qui disparaissent au bout de 2 à 7 jours.Par contre, il devient problématique lorsqu'il atteint la femme enceinte avec une augmentation de l'incidence de complications neurologiques, avec des risques de malformation du crâne (microcéphalie) chez les nourrissons de mères infectées.Le praticien a expliqué, au cours d'une journée de formation sur la fièvre Zika, au profit des praticiens du CHUO, que les deux variétés du moustique Aedes, vecteurs de transmission du virus, n'existent pas en Algérie.Toutefois "enregistrer des cas importés n'est à exclure", a-t-il ajouté. "Même si aucun cas n'a été enregistréjusqu'à présent en Algérie, les praticiens doivent être prêts à prendre en charge des cas de malades atteints du virus Zika", a noté le Pr Moufok , ajoutant que le "flux des voyageurs venant ou se rendant vers des pays ayant enregistré des épidémies de ce type peut conduire à l'importation de cette fièvre".Quelque 59 pays d'Amérique latine, du Sud-Est asiatique et de l'Afrique Australe ont été touchés par l'épidémie de 2016, la plus grande et plus étendue depuis l'isolation du virus en 1959. L'OMS a déclaré, à cet effet, la fièvre Zika comme une urgence de santé publique. Selon les spécialistes, la transmission du virus Zika est principalement vectorielle (par des moustiques).D'autres modes de transmission sont toutefois possibles comme le mode périnatal (de la mère à l'enfant) et le mode sexuel. Les sujets atteints par le virus Zika peuvent présenter une fièvre modérée, une éruption cutanée, une conjonctivite, des douleurs musculaires et articulaires, un état de malaise ou des céphalées, qui disparaissent au bout de 2 à 7 jours.Par contre, il devient problématique lorsqu'il atteint la femme enceinte avec une augmentation de l'incidence de complications neurologiques, avec des risques de malformation du crâne (microcéphalie) chez les nourrissons de mères infectées.




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