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Les professionnels tirent la sonnette d'alarme



Les professionnels tirent la sonnette d'alarme
Les distributeurs, qui sont liés par des contrats avec les groupes publics et privés, sont dans l'embarras quant à l'ampleur des taxes dont ils doivent s'acquitter.Les distributeurs, qui sont liés par des contrats avec les groupes publics et privés, sont dans l'embarras quant à l'ampleur des taxes dont ils doivent s'acquitter.Les distributeurs du lait en sachet ont alerté les autorités sur le besoin de réorganiser la filière. Ils se plaignent notamment des marges bénéficiaires, des impôts et déplorent l'absence de soutien pour leurs activités. Ce sont des professionnels très remontés contre les pratiques qu'ils jugent "peu efficaces" pour l'amélioration de la filière lait.Les distributeurs en particulier se sont plaints au ministre de l'Agriculture sur les conditions socio-professionnelles qui ne leur permettent pas de faire évoluer le secteur. Ainsi selon un porte-parole de cette organisation "il est question de marges qui sont comptés en centimes dont nous demandons leur révision en urgence".Les distributeurs, qui sont liés par des contrats avec les groupes publics et privés, sont dans l'embarras quant à l'ampleur des taxes dont ils doivent s'acquitter. Ils demandent au ministre de revoir les impôts qui "étranglent" une activité peu onéreuse comparativement aux autres selon ces professionnels. Quant aux retards de livraison constatés ces derniers mois sur le produit de sachet de lait, les distributeurs s'en lavent les mains et considèrent que c'est aux producteurs, dont notamment les groupes d'en fournir les raisons. Mais ils se plaignent de la longue attente devant les dépôts pour le chargement de leurs produits.De plus, il existe une certaine anarchie dans la distribution du sachet de lait dans certaines régions. A Alger, c'est le groupe Colaital et certains privés qui détiennent un quasi monopole sur la production, dont de l'avis de certains patrons de laiterie, la couverture reste insuffisante en raison de l'ampleur de la demande. Or, selon un constat établi dans un rapport conjoncturel sur la filière lait d'avril 2017,il est indiqué que "la filière souffre de sousexploitation de son réseau productif alors que la couverture des besoins est supérieure aux besoins du marché".Du reste, il s'agitaujourd'hui d'un plan urgent pour réorganiserle marché de la distribution surtoutdans cette période particulière de l'annéesans oublier que la grande consommationcommencera dés la rentrée à bien se manifester.Dans un ultime recours, le ministèrede l'Agriculture prévoit avec le soutien del'Onil la création d'une commission d'experts pour "voir les mécanismes pour lapromotion de la filière lait".Dans ce sillage, il est indiqué de booster la chaîne de froid qui est l'élément essentiel de l'approvisionnement.Les distributeurs réclamentà cor et à cri l'engagement de l'Etat sur la dotation de la filière en camions frigorifiquesde dernier cri qui doivent être pourvus pour l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement. Une solution qui pourra bien juguler le déficit de livraison en sachet de lait.Les distributeurs du lait en sachet ont alerté les autorités sur le besoin de réorganiser la filière. Ils se plaignent notamment des marges bénéficiaires, des impôts et déplorent l'absence de soutien pour leurs activités. Ce sont des professionnels très remontés contre les pratiques qu'ils jugent "peu efficaces" pour l'amélioration de la filière lait.Les distributeurs en particulier se sont plaints au ministre de l'Agriculture sur les conditions socio-professionnelles qui ne leur permettent pas de faire évoluer le secteur. Ainsi selon un porte-parole de cette organisation "il est question de marges qui sont comptés en centimes dont nous demandons leur révision en urgence".Les distributeurs, qui sont liés par des contrats avec les groupes publics et privés, sont dans l'embarras quant à l'ampleur des taxes dont ils doivent s'acquitter. Ils demandent au ministre de revoir les impôts qui "étranglent" une activité peu onéreuse comparativement aux autres selon ces professionnels. Quant aux retards de livraison constatés ces derniers mois sur le produit de sachet de lait, les distributeurs s'en lavent les mains et considèrent que c'est aux producteurs, dont notamment les groupes d'en fournir les raisons. Mais ils se plaignent de la longue attente devant les dépôts pour le chargement de leurs produits.De plus, il existe une certaine anarchie dans la distribution du sachet de lait dans certaines régions. A Alger, c'est le groupe Colaital et certains privés qui détiennent un quasi monopole sur la production, dont de l'avis de certains patrons de laiterie, la couverture reste insuffisante en raison de l'ampleur de la demande. Or, selon un constat établi dans un rapport conjoncturel sur la filière lait d'avril 2017,il est indiqué que "la filière souffre de sousexploitation de son réseau productif alors que la couverture des besoins est supérieure aux besoins du marché".Du reste, il s'agitaujourd'hui d'un plan urgent pour réorganiserle marché de la distribution surtoutdans cette période particulière de l'annéesans oublier que la grande consommationcommencera dés la rentrée à bien se manifester.Dans un ultime recours, le ministèrede l'Agriculture prévoit avec le soutien del'Onil la création d'une commission d'experts pour "voir les mécanismes pour lapromotion de la filière lait".Dans ce sillage, il est indiqué de booster la chaîne de froid qui est l'élément essentiel de l'approvisionnement.Les distributeurs réclamentà cor et à cri l'engagement de l'Etat sur la dotation de la filière en camions frigorifiquesde dernier cri qui doivent être pourvus pour l'ensemble de la chaîne d'approvisionnement. Une solution qui pourra bien juguler le déficit de livraison en sachet de lait.
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