Algérie

Les palliatifs à la Grande bleue Médéa, Plans d'eau et pétanque



Les palliatifs à la Grande bleue                                    Médéa, Plans d'eau et pétanque
La canicule qui sévit en ce début d'été à Médéa pousse de nombreux citoyens de la région vers la pratique de certains jeux de société, quand ils ne se rabattent pas sur les plans d'eau disséminés dans toute la wilaya, à défaut d'un séjour bien organisé en bord de mer.
La canicule qui sévit en ce début d'été à Médéa pousse de nombreux citoyens de la région vers la pratique de certains jeux de société, quand ils ne se rabattent pas sur les plans d'eau disséminés dans toute la wilaya, à défaut d'un séjour bien organisé en bord de mer.
L'approche du mois sacré de Ramadhan qui survient, cette année, en plein milieu de la saison estivale a contraint beaucoup de citoyens à "renoncer" aux traditionnelles vacances d'été et de "s'improviser" de petites escapades non loin de leurs lieux de résidence, le temps de se changer les idées et de rompre avec la monotonie quotidienne.
Faute d'infrastructures aquatiques en mesure de "remplacer" l'effet procuré par la Grande bleue, nombreux sont les citoyens qui ont opté pour les divers plans d'eau, disséminés à travers la région.
Certains d'entre eux, rencontrés au niveau de l'Oued Chiffa, devenu le point de chute de dizaines de familles et de jeunes, en quête de fraîcheur, évoquent également la situation du trafic routier, notamment le long de l'axe la Chiffa-Médéa, où les interminables "bouchons" qui se forment à longueur de journée empêchent toute évasion hors de la wilaya.
Le trafic, très dense, que connaît ce tronçon a dissuadé plus d'un à rejoindre le littoral et à trouver une solution palliative qui permet, plus ou moins, de profiter des vacances et fuir, en même temps, la chaleur suffocante des grandes villes.
Retenues collinaires et petits barrages perdent ainsi, le temps d'une saison, leurs fonctions originelles pour devenir des "défouloirs" pour les habitants des localités dépourvues d'espaces de loisirs et de repos. Le rush constaté au niveau de ces plans d'eau n'a rien à envier à l'affluence que connaissent, ces jours-ci, les plages des villes côtières. Ces plans d'eau, en dépit du risque qu'ils représentent, sont littéralement pris d'assaut, dès les premières heures de la journée par des jeunes, fuyant les rayons agressifs du soleil.
Ces coins de fraîcheur ne sont pas la seule panacée des jeunes, des groupes de familles ont tendance à s'y rendre régulièrement, depuis quelques années, et "semblent" bien s'adapter avec l'ambiance qui règne sur place.
Avec ses multiples cascades et ses bassins, incrustés dans un décor féerique, au milieu d'une végétation luxuriante, l'Oued Chiffa reste cependant la destination préférée des Médéens, d'autant qu'ils ont la possibilité de profiter, aussi bien de la fraîcheur procurée par ce cours d'eau que du paysage féerique qu'il traverse.
A Médéa, l'été est, par ailleurs, un moment propice pour la pratique de la pétanque, un jeu populaire à la limite du sport et du loisir, très en vogue en cette période de vacances.
Les nombreuses aires de jeu aménagées sur l'esplanade du boulevard de l'ALN, au centre-ville de Médéa, "sont envahies", en fin d'après-midi, par les adeptes de ce jeu de société.
Des dizaines d'équipes, organisées en "triplettes" ou en "quartettes", viennent se relier, jusqu'à une heure tardive de la nuit, sur les pistes de ce boulodrome, sous le regard admiratif d'une foule de curieux.
Une ambiance bon enfant caractérise ces parties de boules qui ont le mérite d'apporter de l'animation dans une ville où tout est figé durant la journée.
Les "railleries" et les éclats de rires ajoutent du "piment" à ces joutes joyeuses qui, l'espace d'un après-midi, font oublier la chaleur pesante qui enveloppe la ville et permettent aux citoyens de se "ressourcer" pour bien entamer, la journée d'après.
L'approche du mois sacré de Ramadhan qui survient, cette année, en plein milieu de la saison estivale a contraint beaucoup de citoyens à "renoncer" aux traditionnelles vacances d'été et de "s'improviser" de petites escapades non loin de leurs lieux de résidence, le temps de se changer les idées et de rompre avec la monotonie quotidienne.
Faute d'infrastructures aquatiques en mesure de "remplacer" l'effet procuré par la Grande bleue, nombreux sont les citoyens qui ont opté pour les divers plans d'eau, disséminés à travers la région.
Certains d'entre eux, rencontrés au niveau de l'Oued Chiffa, devenu le point de chute de dizaines de familles et de jeunes, en quête de fraîcheur, évoquent également la situation du trafic routier, notamment le long de l'axe la Chiffa-Médéa, où les interminables "bouchons" qui se forment à longueur de journée empêchent toute évasion hors de la wilaya.
Le trafic, très dense, que connaît ce tronçon a dissuadé plus d'un à rejoindre le littoral et à trouver une solution palliative qui permet, plus ou moins, de profiter des vacances et fuir, en même temps, la chaleur suffocante des grandes villes.
Retenues collinaires et petits barrages perdent ainsi, le temps d'une saison, leurs fonctions originelles pour devenir des "défouloirs" pour les habitants des localités dépourvues d'espaces de loisirs et de repos. Le rush constaté au niveau de ces plans d'eau n'a rien à envier à l'affluence que connaissent, ces jours-ci, les plages des villes côtières. Ces plans d'eau, en dépit du risque qu'ils représentent, sont littéralement pris d'assaut, dès les premières heures de la journée par des jeunes, fuyant les rayons agressifs du soleil.
Ces coins de fraîcheur ne sont pas la seule panacée des jeunes, des groupes de familles ont tendance à s'y rendre régulièrement, depuis quelques années, et "semblent" bien s'adapter avec l'ambiance qui règne sur place.
Avec ses multiples cascades et ses bassins, incrustés dans un décor féerique, au milieu d'une végétation luxuriante, l'Oued Chiffa reste cependant la destination préférée des Médéens, d'autant qu'ils ont la possibilité de profiter, aussi bien de la fraîcheur procurée par ce cours d'eau que du paysage féerique qu'il traverse.
A Médéa, l'été est, par ailleurs, un moment propice pour la pratique de la pétanque, un jeu populaire à la limite du sport et du loisir, très en vogue en cette période de vacances.
Les nombreuses aires de jeu aménagées sur l'esplanade du boulevard de l'ALN, au centre-ville de Médéa, "sont envahies", en fin d'après-midi, par les adeptes de ce jeu de société.
Des dizaines d'équipes, organisées en "triplettes" ou en "quartettes", viennent se relier, jusqu'à une heure tardive de la nuit, sur les pistes de ce boulodrome, sous le regard admiratif d'une foule de curieux.
Une ambiance bon enfant caractérise ces parties de boules qui ont le mérite d'apporter de l'animation dans une ville où tout est figé durant la journée.
Les "railleries" et les éclats de rires ajoutent du "piment" à ces joutes joyeuses qui, l'espace d'un après-midi, font oublier la chaleur pesante qui enveloppe la ville et permettent aux citoyens de se "ressourcer" pour bien entamer, la journée d'après.
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