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Les explications du P.-DG d'Algérie Télécom


Les explications du P.-DG d'Algérie Télécom
Le P.-DG d'Algérie Télécom a livré des explications concernant les coupures d'Internet et la fréquence des pannes techniques qui pénalisent grandement les abonnés. Il reconnaît à ce propos les dysfonctionnements du réseau et les insuffisances dans la prise en charge de ces perturbations.Le P.-DG d'Algérie Télécom a livré des explications concernant les coupures d'Internet et la fréquence des pannes techniques qui pénalisent grandement les abonnés. Il reconnaît à ce propos les dysfonctionnements du réseau et les insuffisances dans la prise en charge de ces perturbations.Azouaou Mehmel, P.-DG d'Algérie Télécom a reconnu lors d'un entretien dans une chaîne TV toute la problématique du réseau Internet et ses perturbations depuis pas mal de mois. Selon lui "c'est un problème de réseau qui nécessite actuellement sa réorganisation et sa modernisation".Il avoue que les perturbations et les coupures observées d'Internet sont causées par "un problème de basculement de l'ancien réseau au tout nouveau par le système de fibre optique". Une opération qui dure depuis des années tout en reconnaissant avoir réalisé jusque-là quelque 63.000 km alors qu'il en reste entre 45.000 à 50.000 km pour substituer totalement le réseau et l'achever totalement fin 2016. Il a évoqué ensuite le vol de câbles et les accidents techniques du réseau qui se répercutent dans des pannes fréquentes.Mais au lieu de rassurer les abonnés qui s'acquittent de leurs redevances mensuellement avec l'ampleur des coupures, le premier responsable d'A.T tente de justifier : "Le client est au centre des préoccupations de l'entreprise" en considérant que "les clients doivent comprendre que lors des coupures, ils ont droit à une compensation". Mais sans donner la possibilité pratique de le faire. Selon lui, il existe "un dysfonctionnement dans le système d'information qui une fois rétabli permettra en cas de coupures de compenser les clients".Or, ce système est-il opérationnel ou pas ' La question reste posée. L'autre argument du P.-DG est celui de "la pression de la demande" qui perturbe le réseau tout en indiquant que parfois "le réseau est saturé". Selon lui "les équipes d'intervention dans la maintenance doivent être revues à la hausse" sans indiquer combien de personnes sont mobilisés pour ces tâches.En attendant, des milliers d'abonnés à travers le territoire national souffrent de ces pannes répétitives et leurs doléances ne sont pas correctement prises en charge par les services d'Actel selon beaucoup de témoins. Une autre réponse donnée par le P.-DG d'A.T est celle "d'améliorer la prestation qui va se faire selon un plan visant la formation de tous les agents". A ce sujet, Azouaou Mehmel reconnaît en des termes voilés "les insuffisances relevées" de certains agents mais tout en se défendant à les blâmer ou de les admonester.Un service public à revoirLe P.-DG d'A.T considère que "Algérie Télécom est un service public et n'est pas un monopôle". Il est plutôt selon la formule qui sied un "opérateur historique" qui a besoin de s'adapter au nouveau marché. Une solution parmi tant d'autres est de généraliser les centres d'appel qui sont actuellement au nombre de 3 (Alger, Oran et Constantine). Cela permettra de prendre en charge les doléances des abonnés. Mais il est sans doute urgent d'opter vers les facilités de communication via le réseau à travers le e-paiment sans astreindre ces abonnés à se déplacer au niveau des agences commerciales et de rester des heures à attendre leur tour.Ce mode opératoire est dépassé mais le P-DG qui évoque ce point n'a pas donné d'échéances. Tout comme la suspension du projet de la 4G qui a été lancé en septembre 2014. La formule qui devait séduire les Algériens, n'est pas au bout de leur déception quant on sait que l'abonnement ne se fait plus actuellement ou rarement faute de moyens appropriés à ce projet.Le P.-DG se contente d'indiquer qu'il y aura réception de 200 stations et que 250 autres sont commandées pour leur réception. Dans ce cas précis, il s'agit de relancer un projet qui a demandé des investissements et de le répercuter comme un prolongement à l'ADSL 2. Les abonnés doivent attendre encore une fois la relance de la 4G en espérant de passer un été sans trop de coupures.Azouaou Mehmel, P.-DG d'Algérie Télécom a reconnu lors d'un entretien dans une chaîne TV toute la problématique du réseau Internet et ses perturbations depuis pas mal de mois. Selon lui "c'est un problème de réseau qui nécessite actuellement sa réorganisation et sa modernisation".Il avoue que les perturbations et les coupures observées d'Internet sont causées par "un problème de basculement de l'ancien réseau au tout nouveau par le système de fibre optique". Une opération qui dure depuis des années tout en reconnaissant avoir réalisé jusque-là quelque 63.000 km alors qu'il en reste entre 45.000 à 50.000 km pour substituer totalement le réseau et l'achever totalement fin 2016. Il a évoqué ensuite le vol de câbles et les accidents techniques du réseau qui se répercutent dans des pannes fréquentes.Mais au lieu de rassurer les abonnés qui s'acquittent de leurs redevances mensuellement avec l'ampleur des coupures, le premier responsable d'A.T tente de justifier : "Le client est au centre des préoccupations de l'entreprise" en considérant que "les clients doivent comprendre que lors des coupures, ils ont droit à une compensation". Mais sans donner la possibilité pratique de le faire. Selon lui, il existe "un dysfonctionnement dans le système d'information qui une fois rétabli permettra en cas de coupures de compenser les clients".Or, ce système est-il opérationnel ou pas ' La question reste posée. L'autre argument du P.-DG est celui de "la pression de la demande" qui perturbe le réseau tout en indiquant que parfois "le réseau est saturé". Selon lui "les équipes d'intervention dans la maintenance doivent être revues à la hausse" sans indiquer combien de personnes sont mobilisés pour ces tâches.En attendant, des milliers d'abonnés à travers le territoire national souffrent de ces pannes répétitives et leurs doléances ne sont pas correctement prises en charge par les services d'Actel selon beaucoup de témoins. Une autre réponse donnée par le P.-DG d'A.T est celle "d'améliorer la prestation qui va se faire selon un plan visant la formation de tous les agents". A ce sujet, Azouaou Mehmel reconnaît en des termes voilés "les insuffisances relevées" de certains agents mais tout en se défendant à les blâmer ou de les admonester.Un service public à revoirLe P.-DG d'A.T considère que "Algérie Télécom est un service public et n'est pas un monopôle". Il est plutôt selon la formule qui sied un "opérateur historique" qui a besoin de s'adapter au nouveau marché. Une solution parmi tant d'autres est de généraliser les centres d'appel qui sont actuellement au nombre de 3 (Alger, Oran et Constantine). Cela permettra de prendre en charge les doléances des abonnés. Mais il est sans doute urgent d'opter vers les facilités de communication via le réseau à travers le e-paiment sans astreindre ces abonnés à se déplacer au niveau des agences commerciales et de rester des heures à attendre leur tour.Ce mode opératoire est dépassé mais le P-DG qui évoque ce point n'a pas donné d'échéances. Tout comme la suspension du projet de la 4G qui a été lancé en septembre 2014. La formule qui devait séduire les Algériens, n'est pas au bout de leur déception quant on sait que l'abonnement ne se fait plus actuellement ou rarement faute de moyens appropriés à ce projet.Le P.-DG se contente d'indiquer qu'il y aura réception de 200 stations et que 250 autres sont commandées pour leur réception. Dans ce cas précis, il s'agit de relancer un projet qui a demandé des investissements et de le répercuter comme un prolongement à l'ADSL 2. Les abonnés doivent attendre encore une fois la relance de la 4G en espérant de passer un été sans trop de coupures.




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