Algérie - A la une

Les errements de l'appareil judiciaire


La dernière audition de la turbulente victime d'injuste expulsion de sa villa, en l'absence de l'inculpée, a fait que le juge a préféré entendre les justiciables autour de l'affaire proprement dite, c'est-à-dire les motifs de l'expulsion. C'est alors qu'Ali K. se sentit pousser des ailes en dressant un véritable réquisitoire en guise de... défense! Il marmonna, devant un parterre bondé, comme seule la salle d'audience correctionnelle d'Alger, peut en contenir! «Je suis victime depuis de très longues années, de cette femme, ex-fonctionnaire au ministère de la Justice, qui a toujours prétendu avoir le bras long. D'ailleurs, avec de sales coups de main, de la part, notamment de ses anciens «collègues» du ministère de la Justice, elle voulait, et parfois, était arrivée à me donner un coup de pied, en me chassant, grâce à un faux, de ma maison, en 2003! Je n'ai pu reprendre mon bien qu'en 2015, pour voir la justice m'ordonner de sortir une deuxième fois! C'est vrai, j'ai appris durant tout ce temps, que la machine judiciaire était lourde, lente et vigilante, mais tout de même, il y a eu d'indéniables faux introduits, depuis, par la partie adverse, avec, c'est déplorable, la complicité manifeste, de cadres et employés, collègues de l'ex-fonctionnaire,Fatima K. N'est-il pas temps pour Abderrachid Tabi, le nouveau ministre de la Justice, garde des Sceaux, de mettre le holà en interdisant formellement toute intervention, extra - juridictions, juste de quoi respecter la morale et la seule décision judiciaire!
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