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Les défis de la solidarité nationale



Les défis de la solidarité nationale
La population du 3e âge sera prise en charge complètement prise en charge dans le volet social. Les personnes vulnérables ou souffrant de maladies chroniques bénéficieront d'une attention particulière de la part du département de la Solidarité nationale.La population du 3e âge sera prise en charge complètement prise en charge dans le volet social. Les personnes vulnérables ou souffrant de maladies chroniques bénéficieront d'une attention particulière de la part du département de la Solidarité nationale.C'est la ministre de la Solidarité nationale Mounia Meslem qui vient de faire part de son département de mettre plus de moyens pour l'aide à cette catégorie. « L'Etat algérien a établi plusieurs lois pour la protection des catégories sociales vulnérables telles que la loi sur la protection des personnes âgées, la loi sur la protection des personnes aux besoins spécifiques, la loi relative à la protection de l'enfance assistée et celle ayant trait à la protection de la femme ».Pour ce qui de la « vielle population », des enquêtes ont établi récemment que beaucoup souffrent de « négligence et de maltraitance au niveau de certaines administrations » alors que ceux qui résident dans les centres pour personnes âgées sont parfois négligés.La ministre qui effectue actuellement une tournée nationale a laissé poindre dans ces déclarations qu'elle ne ménagera aucun effort pour « veiller au bon traitement des pensionnaire » sachant que des responsables de centres destinés aux personnes âgées et aux besoins spécifiques ont été carrément relevés de leurs fonctions. La feuille de route tracée pour cette année est de faire en sorte que ces « catégories puissent bénéficier de soins gratuits et d'une pension complète durant leurs séjours ».Mieux que ça, le département de la Solidarité nationale compte s'appuyer sur le réseau associatif pour « apporter les soins nécessaires pour les catégories de malades chroniques tels que les hypertendus et les diabétiques qui n'ont pas de familles et qui n'ont pas les moyens pour se faire soigner ». Dans le même registre, la population des retraités de plus de 60 ans ne sera pas abandonnée.La ministre promet qu'une stratégie de prise en charge de cette population particulière est en cours. Les grands traits de cette stratégie s'inscrivent dans le but « d'humaniser les rapports de la société civile avec cette frange de la population ». Cette dernière qui atteindra les 4,3 millions de personnes en 2020 ne sera non plus mise de côté. En premier lieu, le ministère de la Solidarité compte mettre des moyens pour inviter les personnes âgées qui ont bénéficié de retraites anticipées à avoir la possibilité de disposer de ressources supplémentaires à travers des projets.Cette voie est de plus en plus nécessaire pour les retraités qui comme dans d'autres pays peuvent mettre en avant leurs expériences dans les projets d'utilité publique. D'autre part, la ministre inscrit une autre action dans le cadre de la politique sociale de la vieillesse en veillant au respect de la dignité de ces personnes.A titre illustratif, les lois seront appliquées dans leur rigueur pour ceux qui « abandonnent volontairement leurs vieux parents en les inscrivant dans les centres de vieillesse ». La loi punit d'ailleurs tout citoyen qui serait coupable de « négligence ou maltraitance volontaire envers les personnes âgées » et surtout si des témoins confirment le délit.C'est la ministre de la Solidarité nationale Mounia Meslem qui vient de faire part de son département de mettre plus de moyens pour l'aide à cette catégorie. « L'Etat algérien a établi plusieurs lois pour la protection des catégories sociales vulnérables telles que la loi sur la protection des personnes âgées, la loi sur la protection des personnes aux besoins spécifiques, la loi relative à la protection de l'enfance assistée et celle ayant trait à la protection de la femme ».Pour ce qui de la « vielle population », des enquêtes ont établi récemment que beaucoup souffrent de « négligence et de maltraitance au niveau de certaines administrations » alors que ceux qui résident dans les centres pour personnes âgées sont parfois négligés.La ministre qui effectue actuellement une tournée nationale a laissé poindre dans ces déclarations qu'elle ne ménagera aucun effort pour « veiller au bon traitement des pensionnaire » sachant que des responsables de centres destinés aux personnes âgées et aux besoins spécifiques ont été carrément relevés de leurs fonctions. La feuille de route tracée pour cette année est de faire en sorte que ces « catégories puissent bénéficier de soins gratuits et d'une pension complète durant leurs séjours ».Mieux que ça, le département de la Solidarité nationale compte s'appuyer sur le réseau associatif pour « apporter les soins nécessaires pour les catégories de malades chroniques tels que les hypertendus et les diabétiques qui n'ont pas de familles et qui n'ont pas les moyens pour se faire soigner ». Dans le même registre, la population des retraités de plus de 60 ans ne sera pas abandonnée.La ministre promet qu'une stratégie de prise en charge de cette population particulière est en cours. Les grands traits de cette stratégie s'inscrivent dans le but « d'humaniser les rapports de la société civile avec cette frange de la population ». Cette dernière qui atteindra les 4,3 millions de personnes en 2020 ne sera non plus mise de côté. En premier lieu, le ministère de la Solidarité compte mettre des moyens pour inviter les personnes âgées qui ont bénéficié de retraites anticipées à avoir la possibilité de disposer de ressources supplémentaires à travers des projets.Cette voie est de plus en plus nécessaire pour les retraités qui comme dans d'autres pays peuvent mettre en avant leurs expériences dans les projets d'utilité publique. D'autre part, la ministre inscrit une autre action dans le cadre de la politique sociale de la vieillesse en veillant au respect de la dignité de ces personnes.A titre illustratif, les lois seront appliquées dans leur rigueur pour ceux qui « abandonnent volontairement leurs vieux parents en les inscrivant dans les centres de vieillesse ». La loi punit d'ailleurs tout citoyen qui serait coupable de « négligence ou maltraitance volontaire envers les personnes âgées » et surtout si des témoins confirment le délit.




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