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Les assurances du ministère de l'Agriculture




Le "cheptel ovin à travers toutes les wilayas du pays n'apas été touché par la fièvreaphteuse" a assuré, jeudi aAlger, le directeur desservices vétérinaires (DSV)auprès du ministère del'Agriculture, duDéveloppement rural et de laPêche, Kaddour Hachimi Karim.Le "cheptel ovin à travers toutes les wilayas du pays n'apas été touché par la fièvreaphteuse" a assuré, jeudi aAlger, le directeur desservices vétérinaires (DSV)auprès du ministère del'Agriculture, duDéveloppement rural et de laPêche, Kaddour Hachimi Karim.
Il y a une "abondance de l'offre sur le marché national avec 5millions de têtes destinées au sacrificesde l'Aïd cette année. Un cheptelqui n'est pratiquement pas concernépar le risque de contaminationpar cette maladie virale", a-t-il affirmélors d'une conférence de pressesur les préparatifs de la fête de l'Aïd. D'après ses explications, le virus atouché quelques têtes seulement ducheptel bovin et la situation a étémaîtrisée dans un délai très court. "Le virus qui a ressurgi depuis 2014 a touché en 2018, les animaux bovins encore jeunes qui n'ont pas été immunisés lors des campagnes devaccination précédentes carilsn'étaient pas encore nés", a-t-ildétaillé.
A ce jour, "8.000 têtes ont été vaccinées", selon Kaddour Hachimi, qui a annoncé en outre"une commande de deux (2) millions dedoses de vaccins bivalents auprèsde laboratoires mondiaux". "Ce type de vaccin plus efficace par rapportau précédent, agit contre les deux types de virus O et
A", a-t-il encore expliqué. Il a assuré par ailleurs que toutes les mesures sanitaires ont été prises deux mois àl'avance en prévisionde l'Aïd el-Adha. "En plus des 15.000 vétérinaires fonctionnairesmobilisés pour assurer la permanence durant cette fête religieuse et tout au long des jours qui la précèdent, nous avons fait appel à 9.000 vétérinaires praticiens pour assurerla couverture sanitaire du cheptel durant cette occasion", a-t-il indiqué.
Des vétérinaires sontmobilisés au niveau des points deventes appropriés pour assurer le contrôle sanitaire du cheptel ovin commercialisé durant cette période. "Avant l'égorgement de la bête nous ne pouvons pas prévenir les risques car ces kystes sont indécelables chez les animaux vivants, d'où la nécessité d'un contrôle vétérinaire de la carcasse animale aprèsl'égorgement de la bête", a-t-il tenu à expliquer.
Quant à la gestion de ce risque,Kaddour Hachimi a vivement conseillé aux citoyens de ne pas jeter les abats parasités dans la nature, ni lesdonner aux chiens quirisquent de devenir, à leur tour, un facteur de transmission de cette maladie à l'Homme et au cheptel. A propos del'enquête sur la viande de moutons avariée qui a pénalisé certaines familles durant les deux précédentesfêtes de l'Aïd, ce responsable auprès du ministère a évoqué deux causes : "Le gavage des animaux avec une alimentation concentrée en énergie durant une courte période, conjuguéaux mauvaises conditions d'hygiène", a-t-il avancé. "Il n'existe aucune preuve pouvant incriminerles médicaments à usage animal commercialisés par les grossistes oules vétérinaires", a-t-il soutenu.
Il y a une "abondance de l'offre sur le marché national avec 5millions de têtes destinées au sacrificesde l'Aïd cette année. Un cheptelqui n'est pratiquement pas concernépar le risque de contaminationpar cette maladie virale", a-t-il affirmélors d'une conférence de pressesur les préparatifs de la fête de l'Aïd. D'après ses explications, le virus atouché quelques têtes seulement ducheptel bovin et la situation a étémaîtrisée dans un délai très court. "Le virus qui a ressurgi depuis 2014 a touché en 2018, les animaux bovins encore jeunes qui n'ont pas été immunisés lors des campagnes devaccination précédentes carilsn'étaient pas encore nés", a-t-ildétaillé.
A ce jour, "8.000 têtes ont été vaccinées", selon Kaddour Hachimi, qui a annoncé en outre"une commande de deux (2) millions dedoses de vaccins bivalents auprèsde laboratoires mondiaux". "Ce type de vaccin plus efficace par rapportau précédent, agit contre les deux types de virus O et
A", a-t-il encore expliqué. Il a assuré par ailleurs que toutes les mesures sanitaires ont été prises deux mois àl'avance en prévisionde l'Aïd el-Adha. "En plus des 15.000 vétérinaires fonctionnairesmobilisés pour assurer la permanence durant cette fête religieuse et tout au long des jours qui la précèdent, nous avons fait appel à 9.000 vétérinaires praticiens pour assurerla couverture sanitaire du cheptel durant cette occasion", a-t-il indiqué.
Des vétérinaires sontmobilisés au niveau des points deventes appropriés pour assurer le contrôle sanitaire du cheptel ovin commercialisé durant cette période. "Avant l'égorgement de la bête nous ne pouvons pas prévenir les risques car ces kystes sont indécelables chez les animaux vivants, d'où la nécessité d'un contrôle vétérinaire de la carcasse animale aprèsl'égorgement de la bête", a-t-il tenu à expliquer.
Quant à la gestion de ce risque,Kaddour Hachimi a vivement conseillé aux citoyens de ne pas jeter les abats parasités dans la nature, ni lesdonner aux chiens quirisquent de devenir, à leur tour, un facteur de transmission de cette maladie à l'Homme et au cheptel. A propos del'enquête sur la viande de moutons avariée qui a pénalisé certaines familles durant les deux précédentesfêtes de l'Aïd, ce responsable auprès du ministère a évoqué deux causes : "Le gavage des animaux avec une alimentation concentrée en énergie durant une courte période, conjuguéaux mauvaises conditions d'hygiène", a-t-il avancé. "Il n'existe aucune preuve pouvant incriminerles médicaments à usage animal commercialisés par les grossistes oules vétérinaires", a-t-il soutenu.
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