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Les arbitres dans le collimateur



Les arbitres dans le collimateur
Les matchs de championnat national de Ligue 1 Mobilis deviennent de plus en plus décisifs autant pour l'enjeu du titre que pour le maintien parmi l'élite, et les arbitres sont désormais les plus visés.Les matchs de championnat national de Ligue 1 Mobilis deviennent de plus en plus décisifs autant pour l'enjeu du titre que pour le maintien parmi l'élite, et les arbitres sont désormais les plus visés.Il ne se passe pas une journée de championnat sans que des responsables de clubs, entraîneurs, voire même des joueurs, n'évoquent des erreurs d'arbitrage. Le championnat est de plus en plus serré et les arbitres deviennent la cible des présidents de clubs, sans pour autant bénéficier d'une moindre protection.C'est vrai qu'ils sont responsables de fautes ayant même changé le cours de certains matchs, n'empêche que les arbitres peuvenr se tromper comme tout être humain. "Les arbitres sont des humains. Et l'erreur est humaine. Parfois nous voulons satisfaire certains présidents en mettant le fautif au "frigo", mais cela ne règle pas la situation.Nous acceptons les critiques constructives, mais pas celles destructives. Les erreurs d'arbitrage existent et elles existeront encore. Nous continuons le cycle de formation pour atteindre un niveau escompté. Une chose est sûre, ces dernières années nous avons perdu au moins cinq arbitres internationaux, à l'image de Haimoudi, Benouza et autres qui ont attendu une dizaine d'années pour atteindre un niveau pareil.On ne peut pas les remplacer de sitôt, mais il faut faire confiance aux jeunes arbitres. Ce que je regrette c'est d'insulter un arbitre avant même le début de la rencontre", a indiqué Hamoum le président de la commission d'arbitrage. Ce dernier confirme que "l'arbitre doit être considéré comme étant un acteur sur le terrain et respecté comme tous les autres". Les prochaines journées du championnat seront de plus en plus décisives et quel que soit le choix des arbitres, il sera remis en question. Le président de la commission d'arbitrage avoue que la plupart des arbitres ont d'autres activités et le choix se fera en rapport à leur état de forme.Mais les présidents de clubs ne l'entendent pas de cette oreille en justifiant toujours leurs échecs par des erreurs d'arbitrage. "On a l'impression que dans un match de football tous les regards sont braqués vers l'arbitre", a déploré Hamoum. à titre d'exemple, et rien qu'à l'issue de la dernière journée, le président du MC Alger, Omar Ghrib, a fait savoir qu'il déposera un rapport contre l'arbitre Abid Charef. Idem pour l'entraîneur du CA Batna, Mechiche, qui accuse l'arbitre Boukhalfa lors du match face au NAHussein Dey.Ils ne sont pas les seuls, puisque dans chaque stade les arbitres sont devenus des excuses pour justifier les défaite Pourtant il est grand temps pour que chacun assume ses responsabilités afin de permettre au football national d'atteindre le vrai professionnalisme. Et il est du devoir de tout un chacun de contribuer de près au de loin au développement du sport en général et du football en particulier. Des efforts doivent être fournis dans ce sens pour éviter le pire scenario, à savoir la violence dans les stades.Il ne se passe pas une journée de championnat sans que des responsables de clubs, entraîneurs, voire même des joueurs, n'évoquent des erreurs d'arbitrage. Le championnat est de plus en plus serré et les arbitres deviennent la cible des présidents de clubs, sans pour autant bénéficier d'une moindre protection.C'est vrai qu'ils sont responsables de fautes ayant même changé le cours de certains matchs, n'empêche que les arbitres peuvenr se tromper comme tout être humain. "Les arbitres sont des humains. Et l'erreur est humaine. Parfois nous voulons satisfaire certains présidents en mettant le fautif au "frigo", mais cela ne règle pas la situation.Nous acceptons les critiques constructives, mais pas celles destructives. Les erreurs d'arbitrage existent et elles existeront encore. Nous continuons le cycle de formation pour atteindre un niveau escompté. Une chose est sûre, ces dernières années nous avons perdu au moins cinq arbitres internationaux, à l'image de Haimoudi, Benouza et autres qui ont attendu une dizaine d'années pour atteindre un niveau pareil.On ne peut pas les remplacer de sitôt, mais il faut faire confiance aux jeunes arbitres. Ce que je regrette c'est d'insulter un arbitre avant même le début de la rencontre", a indiqué Hamoum le président de la commission d'arbitrage. Ce dernier confirme que "l'arbitre doit être considéré comme étant un acteur sur le terrain et respecté comme tous les autres". Les prochaines journées du championnat seront de plus en plus décisives et quel que soit le choix des arbitres, il sera remis en question. Le président de la commission d'arbitrage avoue que la plupart des arbitres ont d'autres activités et le choix se fera en rapport à leur état de forme.Mais les présidents de clubs ne l'entendent pas de cette oreille en justifiant toujours leurs échecs par des erreurs d'arbitrage. "On a l'impression que dans un match de football tous les regards sont braqués vers l'arbitre", a déploré Hamoum. à titre d'exemple, et rien qu'à l'issue de la dernière journée, le président du MC Alger, Omar Ghrib, a fait savoir qu'il déposera un rapport contre l'arbitre Abid Charef. Idem pour l'entraîneur du CA Batna, Mechiche, qui accuse l'arbitre Boukhalfa lors du match face au NAHussein Dey.Ils ne sont pas les seuls, puisque dans chaque stade les arbitres sont devenus des excuses pour justifier les défaite Pourtant il est grand temps pour que chacun assume ses responsabilités afin de permettre au football national d'atteindre le vrai professionnalisme. Et il est du devoir de tout un chacun de contribuer de près au de loin au développement du sport en général et du football en particulier. Des efforts doivent être fournis dans ce sens pour éviter le pire scenario, à savoir la violence dans les stades.
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