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Le processus électoral à la loupe


Le processus électoral à la loupe
La plupart des organisations internationales onusiennes ont répondu favorablement à dépêcher leurs délégations pour les missions d'observation du scrutin du 17 avril.La plupart des organisations internationales onusiennes ont répondu favorablement à dépêcher leurs délégations pour les missions d'observation du scrutin du 17 avril.Pour donner raison à cette satisfaction, le ministre des AE, Ramtane Lamamra, a estimé dans une déclaration publique jeudi dernier "qu'en notre qualité de gouvernement algérien nous sommes très satisfaits de constater que les organisations dans lesquelles l'Algérie est membre, et celles avec lesquelles elle traite, ont répondu favorablement à notre invitation d'assurer une observation à l'élection présidentielle". Le ministre des AE ajoute que "la venue d'observateurs étrangers témoigne sur la transparence qui marque le processus électoral en Algérie".Les experts onusiens, dont le feu vert est accordé par le SG de l'Onu Ban Ki-moon, auront à se déployer en Algérie dans leur mission d'observateurs. A cet effet, un responsable du département politique de l'Onu, Tadjoudine Ali-Diabacté a déclaré devant la presse que "nous souhaitons que cette élection se passe dans la paix".Précisant que c'est la quatrième fois qu'il assiste à un processus électoral en Algérie. "Notre mission n'est pas une mission d'observation. Notre rôle essentiel est de suivre le processus électoral et de faire un rapport au secrétaire général de l'Onu", a-t-il souligné. "Nous resterons en Algérie jusqu'à la proclamation des résultats provisoires. Notre but est donc de rendre compte au secrétaire général des Nations unies", a-t-il fait savoir.Durant leur séjour en Algérie, M. Ali-Diabacté et sa délégation se rendront aux wilayas de Tamanrasset et Tizi- Ouzou et visiteront également des bureaux de vote à Alger. Il faut rappeler que jusqu'à maintenant, les différentes missions sont composées de 200 membres de l'Union africaine, 130 membres de la Ligue arabe et une trentaine d'éléments de l'Organisation de coopération islamique. Quant à l'organisation onusienne, le chef de la diplomatie algérienne précise que "l'ONU n'envoie des observateurs que dans le cas d'élections tenues dans une région de tension, ce qui n'est pas le cas de l'Algérie".En outre, l'ONG américaine NDI (National democratic institute) faisant partie du Parti démocrate américain sera de la partie aux côtés d'autres personnalités politiques européennes. A rappeler que l'Union européenne a émis, ces dernières semaines, son veto pour une mission d'observation de l'élection algérienne arguant d'une "invitation tardive de la part des autorités algériennes". Cela dit, ces organisations qui vont venir en Algérie est signe d'ouverture de l'Algérie pour ne pas cautionner une élection qui se joue à guichets fermés, à un moment où la tension autour de cette élection présidentielle est sujet d'inquiétude.Le ministre des AE évoque une autre considération. "Cela prouve également que l'expérience de l'Algérie dans le pluralisme et dans l'organisation d'élections, en tant que pays possédant une grande superficie et un nombre d'habitants important, constitue une source d'inspiration dans la codification de bonnes pratiques dans les opérations électorales dans le monde".Pour donner raison à cette satisfaction, le ministre des AE, Ramtane Lamamra, a estimé dans une déclaration publique jeudi dernier "qu'en notre qualité de gouvernement algérien nous sommes très satisfaits de constater que les organisations dans lesquelles l'Algérie est membre, et celles avec lesquelles elle traite, ont répondu favorablement à notre invitation d'assurer une observation à l'élection présidentielle". Le ministre des AE ajoute que "la venue d'observateurs étrangers témoigne sur la transparence qui marque le processus électoral en Algérie".Les experts onusiens, dont le feu vert est accordé par le SG de l'Onu Ban Ki-moon, auront à se déployer en Algérie dans leur mission d'observateurs. A cet effet, un responsable du département politique de l'Onu, Tadjoudine Ali-Diabacté a déclaré devant la presse que "nous souhaitons que cette élection se passe dans la paix".Précisant que c'est la quatrième fois qu'il assiste à un processus électoral en Algérie. "Notre mission n'est pas une mission d'observation. Notre rôle essentiel est de suivre le processus électoral et de faire un rapport au secrétaire général de l'Onu", a-t-il souligné. "Nous resterons en Algérie jusqu'à la proclamation des résultats provisoires. Notre but est donc de rendre compte au secrétaire général des Nations unies", a-t-il fait savoir.Durant leur séjour en Algérie, M. Ali-Diabacté et sa délégation se rendront aux wilayas de Tamanrasset et Tizi- Ouzou et visiteront également des bureaux de vote à Alger. Il faut rappeler que jusqu'à maintenant, les différentes missions sont composées de 200 membres de l'Union africaine, 130 membres de la Ligue arabe et une trentaine d'éléments de l'Organisation de coopération islamique. Quant à l'organisation onusienne, le chef de la diplomatie algérienne précise que "l'ONU n'envoie des observateurs que dans le cas d'élections tenues dans une région de tension, ce qui n'est pas le cas de l'Algérie".En outre, l'ONG américaine NDI (National democratic institute) faisant partie du Parti démocrate américain sera de la partie aux côtés d'autres personnalités politiques européennes. A rappeler que l'Union européenne a émis, ces dernières semaines, son veto pour une mission d'observation de l'élection algérienne arguant d'une "invitation tardive de la part des autorités algériennes". Cela dit, ces organisations qui vont venir en Algérie est signe d'ouverture de l'Algérie pour ne pas cautionner une élection qui se joue à guichets fermés, à un moment où la tension autour de cette élection présidentielle est sujet d'inquiétude.Le ministre des AE évoque une autre considération. "Cela prouve également que l'expérience de l'Algérie dans le pluralisme et dans l'organisation d'élections, en tant que pays possédant une grande superficie et un nombre d'habitants important, constitue une source d'inspiration dans la codification de bonnes pratiques dans les opérations électorales dans le monde".




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