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Le plan Sellal
Il était attendu avec grande impatience tant le phénomène de rapt d'enfants a pris de l'ampleur. Le plan d'alerte devant faire face avec célérité à ce phénomène est, en effet, déjà connu puisque le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en a saisi, par instruction, les principaux organismes chargés de lutter contre les kidnappings d'enfants.Il était attendu avec grande impatience tant le phénomène de rapt d'enfants a pris de l'ampleur. Le plan d'alerte devant faire face avec célérité à ce phénomène est, en effet, déjà connu puisque le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, en a saisi, par instruction, les principaux organismes chargés de lutter contre les kidnappings d'enfants.Ainsi ce dispositif national d'alerte sera déclenché à chaque fois qu'un cas de rapt et/ou de disparition d'enfant sera signalé dans l'une des wilayas du pays, selon cette instruction de Sellal adressée à plusieurs ministères, corps de sécurité et organismes publics.Ce plan national appelé "Alerte rapt/disparition d'enfants" a été élaboré et mis en place par un groupe de travail multisectoriel créé sous l'égide du ministère de la Justice, conformément aux instructions du Premier ministre édictées en date du 18 janvier 2016, est-il précisé dans l'instruction. Détaillé dans un schéma joint à l'instruction, le plan a été élaboré dans un cadre concerté et définit le rôle de chaque institution de l'Etat en la matière."Sous la direction du procureur de la République de céans, tous les organismes publics concernés (médias publics dans leur ensemble, supports publicitaires, opérateurs de téléphonie mobile, ports, aéroports, gares...) seront, ainsi, sollicités pour relayer l'alerte dans une synergie préétablie, à l'effet de concourir à retrouver l'enfant en danger en vie, dans les meilleurs délais possibles", souligne l'instruction.Pour ce faire le Premier ministre a chargé chacun dans la sphère de ses compétences, de "veiller personnellement à mettre en place ledit plan d'alerte, avec la célérité et la rigueur exigées par l'importance de cette question, de concert avec les instances judiciaires concernées".Ce plan d'alerte est venu à point nommé tant nombreux sont les observateurs et de larges pans de l'opinion publique à avoir reproché aux pouvoirs publics leur lenteur d's lors qu'il y a rapt d'enfant. Le dernier cas en date, qui a ému toute l'Algérie, a été celui de la petite Nihal. La petite Nihal Si Mohand, portée disparue le 21 juillet dernier, n'a été retrouvée, morte hélas, que presque 15 jours après.La confirmation de la mort de la fillette âgée de 4 ans est intervenu suite à une analyse ADN d'indices, dont un crâne et des cheveux, récupérés par la Gendarmerie nationale, réalisée par l'Institut national de criminologie et de criminalistique de Bouchaoui. Une mort atroce qui est venue rappelée combien est urgent la nécessité de mettre en place des mécanismes à même de faire face au fléau de kidnappings d'enfants. C'est désormais chose faite. Il reste seulement l'épreuve du terrain pour mesurer son efficacité.Ainsi ce dispositif national d'alerte sera déclenché à chaque fois qu'un cas de rapt et/ou de disparition d'enfant sera signalé dans l'une des wilayas du pays, selon cette instruction de Sellal adressée à plusieurs ministères, corps de sécurité et organismes publics.Ce plan national appelé "Alerte rapt/disparition d'enfants" a été élaboré et mis en place par un groupe de travail multisectoriel créé sous l'égide du ministère de la Justice, conformément aux instructions du Premier ministre édictées en date du 18 janvier 2016, est-il précisé dans l'instruction. Détaillé dans un schéma joint à l'instruction, le plan a été élaboré dans un cadre concerté et définit le rôle de chaque institution de l'Etat en la matière."Sous la direction du procureur de la République de céans, tous les organismes publics concernés (médias publics dans leur ensemble, supports publicitaires, opérateurs de téléphonie mobile, ports, aéroports, gares...) seront, ainsi, sollicités pour relayer l'alerte dans une synergie préétablie, à l'effet de concourir à retrouver l'enfant en danger en vie, dans les meilleurs délais possibles", souligne l'instruction.Pour ce faire le Premier ministre a chargé chacun dans la sphère de ses compétences, de "veiller personnellement à mettre en place ledit plan d'alerte, avec la célérité et la rigueur exigées par l'importance de cette question, de concert avec les instances judiciaires concernées".Ce plan d'alerte est venu à point nommé tant nombreux sont les observateurs et de larges pans de l'opinion publique à avoir reproché aux pouvoirs publics leur lenteur d's lors qu'il y a rapt d'enfant. Le dernier cas en date, qui a ému toute l'Algérie, a été celui de la petite Nihal. La petite Nihal Si Mohand, portée disparue le 21 juillet dernier, n'a été retrouvée, morte hélas, que presque 15 jours après.La confirmation de la mort de la fillette âgée de 4 ans est intervenu suite à une analyse ADN d'indices, dont un crâne et des cheveux, récupérés par la Gendarmerie nationale, réalisée par l'Institut national de criminologie et de criminalistique de Bouchaoui. Une mort atroce qui est venue rappelée combien est urgent la nécessité de mettre en place des mécanismes à même de faire face au fléau de kidnappings d'enfants. C'est désormais chose faite. Il reste seulement l'épreuve du terrain pour mesurer son efficacité.
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