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Le plan d'urgence adopté


Le plan d'urgence adopté
Les maladies à transmission vectorielle telles que la malaria, le paludisme, la leishmaniose, les zoonoses et d'autres maladies infectieuses seront désormais classées dans un nouveau plan de lutte. Il est prévu une coordination entre tous les établissements de santé de ces wilayas et une surveillance accrue au niveau des frontières.Les maladies à transmission vectorielle telles que la malaria, le paludisme, la leishmaniose, les zoonoses et d'autres maladies infectieuses seront désormais classées dans un nouveau plan de lutte. Il est prévu une coordination entre tous les établissements de santé de ces wilayas et une surveillance accrue au niveau des frontières.Ces maladies qui causent autant de tort sont décidément classées dans le règlement sanitaire international qui est une sorte de code avec un plan international de lutte comportant toute la stratégie pour les endiguer. Les autorités sanitaires algériennes vont devoir déployer tout le plan d'urgence qu'elles viennent d'adopter.Parmi les mesures, il y a en premier lieu « le renforcement de la collaboration intersectorielle et transfrontalière pour une meilleure surveillance des maladies et événements de santé publique de portée internationale ». Les autorités fixent d'autre part « le statut juridique des autorités compétentes aux points d'entrée et postes frontaliers, la conformité du système national de surveillance en fonction des dispositions du RSI ».Au ministère de tutelle, on parle davantage de « l'établissement d'une cartographie des menaces et des ressources disponibles, ainsi que l'actualisation du plan ORSEC en conformité avec les dispositifs du RSI, la mise en place d'un mécanisme de coordination de la communication en prévision de situations d'urgence, ainsi que le renforcement des programmes d'inspection et les plans de gestion des risque, pour une meilleure supervision et coordination des interventions ».Il faut savoir que malgré la menace de certaines maladies véhiculées par des insectes ou animaux, il y a lieu de rester vigilants sur la prolifération de certains comme c'est le cas de la leishmaniose cutanée dont on a dénombré au cours de l'année quelques milliers de cas.Idem pour la résurgence du paludisme dans le haut Sahara en raison de l'existence de certains insectes dans les marrées à forte salinité. Les responsables de santé dans les wilayas du sud ont été instruits à « un renforcement des capacités d'intervention rapide en cas d'urgence de santé publique en Algérie, en mettant un accent sur l'établissement des procédures et la pratique des évaluations ». Dans ce cadre, le plan d'urgence prévoit de mettre un système d'alerte au cas où il y aurait des foyers de contamination dans certains endroits.Les praticiens de santé et les gestionnaires doivent ainsi coordonner ensemble pour circonscrire ces foyers insidieux. Il est à noter que certaines maladies causées par les effets de la pollution d'eau où sévissent des bactéries ont fait leur apparition dans certaines localités frontalières du Sud. Les services d'épidémiologies des établissements de santé dans les wilayas de sud sont en train de mettre en place des équipes médicales et de SAMU afin de prévenir ces pathologies. Le ministre de la Santé a pour sa part ordonné que ces services puissent consulter le maximum des populations enclavées et ne bénéficiant pas d'une totale couverture sanitaire.Ces maladies qui causent autant de tort sont décidément classées dans le règlement sanitaire international qui est une sorte de code avec un plan international de lutte comportant toute la stratégie pour les endiguer. Les autorités sanitaires algériennes vont devoir déployer tout le plan d'urgence qu'elles viennent d'adopter.Parmi les mesures, il y a en premier lieu « le renforcement de la collaboration intersectorielle et transfrontalière pour une meilleure surveillance des maladies et événements de santé publique de portée internationale ». Les autorités fixent d'autre part « le statut juridique des autorités compétentes aux points d'entrée et postes frontaliers, la conformité du système national de surveillance en fonction des dispositions du RSI ».Au ministère de tutelle, on parle davantage de « l'établissement d'une cartographie des menaces et des ressources disponibles, ainsi que l'actualisation du plan ORSEC en conformité avec les dispositifs du RSI, la mise en place d'un mécanisme de coordination de la communication en prévision de situations d'urgence, ainsi que le renforcement des programmes d'inspection et les plans de gestion des risque, pour une meilleure supervision et coordination des interventions ».Il faut savoir que malgré la menace de certaines maladies véhiculées par des insectes ou animaux, il y a lieu de rester vigilants sur la prolifération de certains comme c'est le cas de la leishmaniose cutanée dont on a dénombré au cours de l'année quelques milliers de cas.Idem pour la résurgence du paludisme dans le haut Sahara en raison de l'existence de certains insectes dans les marrées à forte salinité. Les responsables de santé dans les wilayas du sud ont été instruits à « un renforcement des capacités d'intervention rapide en cas d'urgence de santé publique en Algérie, en mettant un accent sur l'établissement des procédures et la pratique des évaluations ». Dans ce cadre, le plan d'urgence prévoit de mettre un système d'alerte au cas où il y aurait des foyers de contamination dans certains endroits.Les praticiens de santé et les gestionnaires doivent ainsi coordonner ensemble pour circonscrire ces foyers insidieux. Il est à noter que certaines maladies causées par les effets de la pollution d'eau où sévissent des bactéries ont fait leur apparition dans certaines localités frontalières du Sud. Les services d'épidémiologies des établissements de santé dans les wilayas de sud sont en train de mettre en place des équipes médicales et de SAMU afin de prévenir ces pathologies. Le ministre de la Santé a pour sa part ordonné que ces services puissent consulter le maximum des populations enclavées et ne bénéficiant pas d'une totale couverture sanitaire.




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