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Le pass sanitaire bientôt imposé en Algérie



Le gouvernement, notamment le ministère de la Santé, dépense des efforts colossaux dans le but d'atteindre l'objectif de vaccination de 70 % de la population avant la fin de l'année en cours.Le gouvernement, notamment le ministère de la Santé, dépense des efforts colossaux dans le but d'atteindre l'objectif de vaccination de 70 % de la population avant la fin de l'année en cours.
Pour tenter d'atteindre cet objectif il a été décidé le lancement de la plus grande campagne de vaccination, baptisée - big day -, qui malheureusement n'a pas réussi à drainer grand monde. Pour preuve, une opération d'importation de quantités considérables de vaccins anti-Covid-19 a été "gelée en raison de la disponibilité, actuellement, de plus de 13 millions de doses non encore utilisées, vu l'abstention des citoyens", a révélé, jeudi dernier, le ministre de la Santé en marge d'une journée d'évaluation de la situation pandémique. Ces derniers jours, la courbe épidémique remonte de nouveau et le spectre d'une nouvelle crise ressurgit. En effet, la barre des 120 cas a été franchie.
Une première depuis plusieurs semaines. Un bilan qui confirme la reprise épidémique de cette dernière semaine. En effet, depuis le début du mois de novembre, le bilan quotidien, établi par le ministère de la Santé, donne froid dans le dos. Pour les spécialistes, il s'agit des prémices d'une 4e vague. Des craintes amplement fondées du fait qu'un relâchement total est enregistré chez les citoyens Ce qui n'exclut pas une éventuelle généralisation par les hautes autorités de pays, du pass sanitaire à travers le territoire national. Benbouzid a, en effet, fini par changer d'avis. Il a plaidé, avant-hier, pour l'application du pass sanitaire. Une mesure qu'il suggère pour inciter les citoyens à se faire vacciner. Cependant, le professeur préfère renvoyer la patate chaude aux hautes autorités de l'état, en déclarant que "l'instauration du pass sanitaire ne relève pas des prérogatives du ministère". Le ministère de la Santé a par contre "pris les mesures préventives et réunit les conditions nécessaires à cet effet, tout en assurant la disponibilité du vaccin". La journée d'évaluation a vu la participation de plusieurs acteurs du domaine, dont des associations scientifiques, des syndicats et des experts.
Elle a été couronnée de recommandations, à travers lesquelles l'accent a été mis sur "l'importance d'instaurer le pass sanitaire pour généraliser la vaccination à toutes les franges de la société". Tous les participants étaient d'accord sur le fait que "la vaccination est le seul moyen de se protéger de la pandémie". Les experts n'ont pas manqué de noter la nécessité de "la révision" de la stratégie actuelle de communication et de prévention à travers la sensibilisation des citoyens pour adhérer à la campagne de vaccination.
Pour tenter d'atteindre cet objectif il a été décidé le lancement de la plus grande campagne de vaccination, baptisée - big day -, qui malheureusement n'a pas réussi à drainer grand monde. Pour preuve, une opération d'importation de quantités considérables de vaccins anti-Covid-19 a été "gelée en raison de la disponibilité, actuellement, de plus de 13 millions de doses non encore utilisées, vu l'abstention des citoyens", a révélé, jeudi dernier, le ministre de la Santé en marge d'une journée d'évaluation de la situation pandémique. Ces derniers jours, la courbe épidémique remonte de nouveau et le spectre d'une nouvelle crise ressurgit. En effet, la barre des 120 cas a été franchie.
Une première depuis plusieurs semaines. Un bilan qui confirme la reprise épidémique de cette dernière semaine. En effet, depuis le début du mois de novembre, le bilan quotidien, établi par le ministère de la Santé, donne froid dans le dos. Pour les spécialistes, il s'agit des prémices d'une 4e vague. Des craintes amplement fondées du fait qu'un relâchement total est enregistré chez les citoyens Ce qui n'exclut pas une éventuelle généralisation par les hautes autorités de pays, du pass sanitaire à travers le territoire national. Benbouzid a, en effet, fini par changer d'avis. Il a plaidé, avant-hier, pour l'application du pass sanitaire. Une mesure qu'il suggère pour inciter les citoyens à se faire vacciner. Cependant, le professeur préfère renvoyer la patate chaude aux hautes autorités de l'état, en déclarant que "l'instauration du pass sanitaire ne relève pas des prérogatives du ministère". Le ministère de la Santé a par contre "pris les mesures préventives et réunit les conditions nécessaires à cet effet, tout en assurant la disponibilité du vaccin". La journée d'évaluation a vu la participation de plusieurs acteurs du domaine, dont des associations scientifiques, des syndicats et des experts.
Elle a été couronnée de recommandations, à travers lesquelles l'accent a été mis sur "l'importance d'instaurer le pass sanitaire pour généraliser la vaccination à toutes les franges de la société". Tous les participants étaient d'accord sur le fait que "la vaccination est le seul moyen de se protéger de la pandémie". Les experts n'ont pas manqué de noter la nécessité de "la révision" de la stratégie actuelle de communication et de prévention à travers la sensibilisation des citoyens pour adhérer à la campagne de vaccination.
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