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Le niveau d'alerte relevé


Le niveau d'alerte relevé
Le forum de la Sûreté nationale a abrité hier une conférence sur la lutte contre le virus Ebola. Cette rencontre a été animée par des représentants du ministère de la Santé et un cadre de la direction de la Police des frontières.Le forum de la Sûreté nationale a abrité hier une conférence sur la lutte contre le virus Ebola. Cette rencontre a été animée par des représentants du ministère de la Santé et un cadre de la direction de la Police des frontières.L'objectif du forum était de donner de plus amples informations concernant le dispositif sécuritaire mis en place pour faire face une éventuelle propagation de ce virus.Samia Hamadi, sous-directrice des maladies prévalantes et des alertes sanitaires au ministère de la Santé est revenue, en premier lieu, sur l'historique de ce virus qui rafle l'actualité internationale. Elle souligne ainsi qu'« Ebola a été identifié en septembre 1976 ». Elle précisera toutefois avant de commencer son exposé que « cette conférence a pour but de faire mieux connaître ce virus et de pouvoir par la suite y faire face correctement » en insistant qu' « aucun cas n'a été enregistré en Algérie».L'intervenante soulignera qu'au début, cette maladie présente des symptômes semblables à ceux d'une grippe avec la survenue de fièvre, de maux de tête, de la fatigue, une gêne respiratoire, des nausées et des diarrhées débouchant sur des hémorragies. Ces signes, précise-t-elle, « indiquent qu'il y a risque de contaminations ».elle a également fait savoir que « le contact direct avec les liquides organiques (sang, sperme, cyprine, excrétions, salive) d'une personne infectée est la principale voie de contamination interhumaine ». Selon les conclusions de l'OMS, les liquides les plus infectieux sont actuellement le sang, les selles et le vomi. Le virus ayant également été détecté dans le lait maternel, l'urine et le sperme.La salive et les larmes peuvent également représenter un risque, bien que les données scientifiques ne soient actuellement pas concluantes selon l'OMS. À l'inverse, le virus entier vivant n'a jamais été isolé dans la sueur et la propagation du virus par la toux et les éternuements est « rare voire inexistante » selon toujours les observations de l'OMS.L'OMS indique, par ailleurs, que le virus « peut rester présent dans le sperme pendant au moins 70 jours, voire jusqu'à plus de 90 et que le virus n'est vraisemblablement présent dans la salive qu'aux stades avancés de la maladie ».L'inquiétante progression de la grave épidémie d'Ebola, en Afrique de l'Ouest et les probabilités de son extension à d'autres pays du continent africain, est le sujet d'actualité majeur, pour cela le docteur Samia Hamadi, a exposé la nature des dispositions arrêtées par l'Algérie pour se prémunir contre cette dangereuse pathologie en affirmant que le ministère « suit de très près son évolution et que le dispositif sécuritaire est à chaque fois réactualisé ».Du dispositif mis en place, la sous-directrice des maladies prévalantes et des alertes sanitaires au ministère de la Santé explique qu'il consiste en le « renforcement, en médecins et équipements de toutes les structures sanitaires installées de longue date au niveau des ports, aéroports et postes frontaliers terrestres ».Parallèlement, poursuit-elle, « des efforts sont entrepris quotidiennement pour développer l'information et la sensibilisation des personnels de la santé ainsi que celle de la population ». Pour elle « le risque zéro n'existe pas ».Elle indique, à cet effet, que « des matériels de protection sanitaires (masques, lunettes, blouses, sur-blouses, et bottes) ont été distribués, par millions, à l'ensemble des structures de santé du pays ». Samia Hamadi indique, encore, que dans « chaque service de santé ont été créées des structures d'isolement, spécialement équipées pour, éventuellement, accueillir et traiter des patients suspectés d'avoir contracté le virus ».L'objectif du forum était de donner de plus amples informations concernant le dispositif sécuritaire mis en place pour faire face une éventuelle propagation de ce virus.Samia Hamadi, sous-directrice des maladies prévalantes et des alertes sanitaires au ministère de la Santé est revenue, en premier lieu, sur l'historique de ce virus qui rafle l'actualité internationale. Elle souligne ainsi qu'« Ebola a été identifié en septembre 1976 ». Elle précisera toutefois avant de commencer son exposé que « cette conférence a pour but de faire mieux connaître ce virus et de pouvoir par la suite y faire face correctement » en insistant qu' « aucun cas n'a été enregistré en Algérie».L'intervenante soulignera qu'au début, cette maladie présente des symptômes semblables à ceux d'une grippe avec la survenue de fièvre, de maux de tête, de la fatigue, une gêne respiratoire, des nausées et des diarrhées débouchant sur des hémorragies. Ces signes, précise-t-elle, « indiquent qu'il y a risque de contaminations ».elle a également fait savoir que « le contact direct avec les liquides organiques (sang, sperme, cyprine, excrétions, salive) d'une personne infectée est la principale voie de contamination interhumaine ». Selon les conclusions de l'OMS, les liquides les plus infectieux sont actuellement le sang, les selles et le vomi. Le virus ayant également été détecté dans le lait maternel, l'urine et le sperme.La salive et les larmes peuvent également représenter un risque, bien que les données scientifiques ne soient actuellement pas concluantes selon l'OMS. À l'inverse, le virus entier vivant n'a jamais été isolé dans la sueur et la propagation du virus par la toux et les éternuements est « rare voire inexistante » selon toujours les observations de l'OMS.L'OMS indique, par ailleurs, que le virus « peut rester présent dans le sperme pendant au moins 70 jours, voire jusqu'à plus de 90 et que le virus n'est vraisemblablement présent dans la salive qu'aux stades avancés de la maladie ».L'inquiétante progression de la grave épidémie d'Ebola, en Afrique de l'Ouest et les probabilités de son extension à d'autres pays du continent africain, est le sujet d'actualité majeur, pour cela le docteur Samia Hamadi, a exposé la nature des dispositions arrêtées par l'Algérie pour se prémunir contre cette dangereuse pathologie en affirmant que le ministère « suit de très près son évolution et que le dispositif sécuritaire est à chaque fois réactualisé ».Du dispositif mis en place, la sous-directrice des maladies prévalantes et des alertes sanitaires au ministère de la Santé explique qu'il consiste en le « renforcement, en médecins et équipements de toutes les structures sanitaires installées de longue date au niveau des ports, aéroports et postes frontaliers terrestres ».Parallèlement, poursuit-elle, « des efforts sont entrepris quotidiennement pour développer l'information et la sensibilisation des personnels de la santé ainsi que celle de la population ». Pour elle « le risque zéro n'existe pas ».Elle indique, à cet effet, que « des matériels de protection sanitaires (masques, lunettes, blouses, sur-blouses, et bottes) ont été distribués, par millions, à l'ensemble des structures de santé du pays ». Samia Hamadi indique, encore, que dans « chaque service de santé ont été créées des structures d'isolement, spécialement équipées pour, éventuellement, accueillir et traiter des patients suspectés d'avoir contracté le virus ».


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