Algérie - A la une

Le Maroc crache son venin



Le Maroc crache son venin
L'ambassadeur du royaume auprès des Nations unies est devenu fou furieux après l'adoption d'un projet de résolution, par la 4ème commission de l'AG de l'ONU, appelant à la décolonisation du Sahara occidental.Dés qu'il s'agit du dossier sahraoui, le Maroc voit rouge. Lorsqu'il essuie un camouflet sur cette question, le responsable est tout de suite pointé du doigt: c'est l'Algérie. C'est encore le cas cette fois-ci. L'ambassadeur du royaume auprès des Nations unies est devenu fou furieux après l'adoption d'un projet de résolution, par la 4ème commission de l'AG de l'ONU, appelant à la décolonisation du Sahara occidental. C'est par une série de questions, un véritable chapelet d'invectives qu'il s'en est encore pris à notre pays qui n'a fait que se soumettre à la légalité internationale, au droit des peuples opprimés à disposer d'eux-mêmes. Un principe qu'il a adopté à travers sa révolution. Il est devenu un exemple pour tous les humains qui aspirent à rompre les chaînes de la domination, du colonialisme. C'est le cas du peuple sahraoui. Le Maroc, qui ambitionne de le mettre sous sa botte voit son rêve, doucement, mais sûrement, partir en fumée, autant que son statut de dernier pays colonisateur d'Afrique. La faute à qui' «Malgré ses dénégations, la responsabilité de l'Algérie dans le différend régional sur le Sahara marocain est indéniable», a accusé Omar Hilale, devant la 4ème commission de l'Assemblée générale de l'ONU, chargée des questions spéciales et de la décolonisation qui venait d'adopter, le 10 octobre à New York, une résolution soutenue par 25 pays dont l'Algérie, réaffirmant le droit du peuple sahraoui à l'autodétermination avant qu'il ne se lance dans une série d'interrogations pour faire de l'Algérie le responsable de ses déboires diplomatiques, qu'il refoulera pour se poser en victime expiatoire. Il commencera par s'interroger sur la création du Front Polisario. Un os pour le Maroc. Qui le lui a mis en travers de la gorge' «Qui a créé le «Polisario» et le soutient politiquement et militairement depuis 40 ans'», se demande-t-il. «Ce n'est pas un pays observateur. C'est l'Algérie. Qui mobilise l'ensemble de son appareil diplomatique contre son voisin, le Maroc' Ce n'est pas un pays observateur. C'est l'Algérie», martèlera-t-il, cité par le quotidien marocain Le Matin. A force de baver, Omar Hilale aura la rage, pour rompre avec la pratique de la diplomatie et s'égarer sur les sentiers de la propagande, de la désinformation et de la manipulation. N'est pas Lamamra qui veut!«Qui dépense des milliards de dollars du contribuable algérien pour financer un groupe séparatiste qui a des liens avérés avec le terrorisme international et régional' s'égosillera t-il. «Qui refuse de dévoiler à ses propres parlementaires le budget réservé au Polisario'''», s'interrogera-t-il en salivant. Hilale fera les questions et les réponses. «Ce n'est pas un pays observateur. C'est l'Algérie», répètera-t-il à chaque fois, crachant son venin. Le Maroc c'est comme un dromadaire. Il ne regarde pas sa bosse et le ridicule ne le tue pas. Il compare le Front Polisario à un groupe terroriste, mais il s'est assis avec lui autour d'une même table. Il est le premier producteur de cannabis au monde. Il inonde la planète, l'Algérie par quintaux quotidiennement. «La production de haschisch est en sensible hausse d'année en année au Maroc, le plus grand fournisseur de résine de cannabis dans le monde», avait souligné le rapport annuel de l'Office des Nations unies sur la drogue et le crime (Onudc) pour l'année 2015. L'alliance avérée entre les barons marocains de la drogue et les groupes terroristes met en danger le Maghreb et la région du Sahel. Quant au Sahara occidental, c'est l'avocat général de la Cour européenne de justice qui vient de lui rappeler qu'il n'y a rien à faire. «Le Sahara occidental ne fait pas partie du territoire du Maroc...», a écrit Melchior Wathelet au sujet de l'accord agricole qui lie l'Union européenne au Maroc.





Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)