Le dossier des médicaments doit être transféré du ministère de la santé au ministère du commerce L'invité d'El Khabar a dit

Benyounes a qualifié la pénurie de médicament de « quelque chose d'inconcevable » parce que l'Algérie a suffisamment d'argent pour cela. Et a déclaré si j'étais ministre du secteur j'aurais proposé de transféré la question de l'achat de médicaments du ministère de la santé au ministère du commerce, parce que la mission principale du ministère de la santé est la santé des algériens. Benyounes pense d'un autre coté que les rumeurs sur l'existence d'une « mafia » du médicament n'ont pas de sens, parce que le processus d'importation des médicaments est transparent, depuis sa sortie de l'usine et du laboratoire jusqu'à son arrivée en Algérie, mais cela ne signifie pas qu'il n y a pas de problème que l'état doit résoudre.
Le pétrole est le trésor de tous les algériens et exige un débat national sur ce sujet
Dans sa réaction au projet du gouvernement de révisé l'actuelle loi sur les hydrocarbures Benyounes a appelé à la nécessité de « d'ouvrir un débat national » sur le dossier, parce que le pétrole est « le trésor de tous les algériens », et les plus important dans tout cela comme il l'a précisé, est la manière de préserver les intérêts des algériens, appelant à la nécessité « de ne pas se renfermer sur soi-même ». Et a proposé de laisser ce dossier « refroidir » en référence aux scandales qui ont secoué le secteur des hydrocarbures, il faut ensuite ouvrir un débat national et consulter le peuple et le parlement à ce sujet.
La France est sortie perdante d'Algérie.. est c'est l'important
Naturellement cela me plairait si Sarkozy s'excusait des crimes de la France en Algérie, mais, il ne faut pas lier la relation de la France aux excuses. Il a indiqué « nous avons une relation schizophrénique » avec la France, les gens qui fustigent la France sont les premiers à vouloir obtenir « le visa » avec son embrassade. En ce qui me concerne, moi qui suis fils de chahid, « nous avons battu la France est c'est l'important, le reste est secondaire », insistant sur le fait que la question est essentielle « si nous avions des intérêts avec la France cela serait une bonne chose et dans le cas contraire pour courir après », se demandant « pourquoi ne pas demandes excuses à la Turquie qui a colonisé l'Algérie ».
Je suis pour la loi criminalisant la colonisation
Benyounes a appelé à faire un bilant et une évaluation globale après cinquante ans d'indépendance de l'Algérie pour « savoir ou on va », et a défendu l'initiative de criminaliser la colonisation, en réponse à sa glorification par le parlement français.
Je n'ai de problème avec aucun parti même le RCD
Je suis prêt à rencontrer demain les partis du pole démocratique, pour constituer une alliance que ce soit avant ou après les législatives, et je n'ai de problème avec aucun parti y compris le RCD. Et a indiqué une tentative d'établissement de listes communes avec l'alliance nationale républicaine il y quelques temps et le désaccord à ce sujet avec le mouvement démocratique et social, insistant sur le fait que le sujet du « leadership » n'a pas été évoqué et j'avais dit à ce moment la qu'il était naturel que Redha Malek préside le pole parce que cela est naturel.
Nous soutenons la proposition de rendre le vote obligatoire
Benyounes a soutenu l'idée de faire de rendre le vote obligatoire en Algérie à l'instar de ce qui se fait dans certains pays démocratiques, considérant que cela serait un moyen de mettre fin au boycott électoral et d'augmenter le taux de participation, indiquant que ceux qui ne sont pas convaincus par les élections doivent exprimer leur position en votant blanc, ce qui l'expression d'une position.
Hassan II porte la responsabilité de la fermeture des frontières
Même s'il a souligné que les frontières entre l'Algérie et le Maroc ne resterait pas fermées pour toujours, il a soutenu la position de l'état algérien sur la nécessité que le sujet soit posé dans un cadre global, assurant qu' « il ne faut pas qu'on oublie que c'est Hassan II qui a poussé à la fermeture des frontières en 94, après avoir imposé un visa aux algériens, alors que les algériens avait le plus besoin de briser le blocus qui lui était imposé quotidiennement