Le CHU de Beni-Messous en quête de réorganisation

La quête d'une réorganisation pour une meilleure prise en charge des malades figure parmi les principales préoccupations du CHU de Beni- Messous, a affirmé son chef de service d'hématologie, le professeur Nekkal Salah.La quête d'une réorganisation pour une meilleure prise en charge des malades figure parmi les principales préoccupations du CHU de Beni- Messous, a affirmé son chef de service d'hématologie, le professeur Nekkal Salah.Présidant les Journées médicochirurgicales organisées par le centre hospitalouniversitaire les 25 et 26 février, le professeur Nekkal a précisé à l'APS, en marge de cette rencontre que l'axe principal de cette dernière consiste à aboutir à la mise en place d'un réseau de prise en charge des malades qui affluent vers cette structure."L'hôpital reçoit un nombre important de malades qui sont directement orientés par d'autres structures de la capitale vers le service de pneumologie lequel est très réputé, alors qu'ils sont censés passer d'abord par celui des urgences chirurgicales", a-t-il précisé. Ces journées, a-t-il ajouté,visent également à "identifier les principales préoccupations auxquelles font face les praticiens de cette structure", et s'articulent sur trois thèmes, que sont la cancérologie, la stomatologiste ainsi que la douleur thoracique aiguë.S'agissant de la cancérologie, le Pr Nekkal s'est félicité que le CHU de Beni-Messous soit doté d'un centre anticancer et qui accueille quotidiennement entre 40 et 50 malades pour des soins de jour. "Nous essayons de nous rapprocher autant que possible du programme du président de la République de lutte contre le cancer", a poursuivi le spécialiste, reconnaissant, néanmoins l'existence de contraintes liées aussi bien à cette spécialité qu'à bien d'autres.Assurant uniquement des soins de chimiothérapie, le CAC relevant de ce CHU ne peut accueillir ainsi les malades nécessitant des radiothérapies, lesquels sont contraints de se rendre ailleurs. La structure hospitalière est également en attente de la réalisation d'un service dédié exclusivement à la chirurgie liée à toutes les pathologies de cancers, sachant que seule celle du sein existe à l'heure actuelle.La rencontre qui s'inscrit, par ailleurs, dans le cadre des cycles de formation continue, sera sanctionnée par une série de recommandations résumant les préoccupations exprimées par les différents intervenants durant deux jours durant.Présidant les Journées médicochirurgicales organisées par le centre hospitalouniversitaire les 25 et 26 février, le professeur Nekkal a précisé à l'APS, en marge de cette rencontre que l'axe principal de cette dernière consiste à aboutir à la mise en place d'un réseau de prise en charge des malades qui affluent vers cette structure."L'hôpital reçoit un nombre important de malades qui sont directement orientés par d'autres structures de la capitale vers le service de pneumologie lequel est très réputé, alors qu'ils sont censés passer d'abord par celui des urgences chirurgicales", a-t-il précisé. Ces journées, a-t-il ajouté,visent également à "identifier les principales préoccupations auxquelles font face les praticiens de cette structure", et s'articulent sur trois thèmes, que sont la cancérologie, la stomatologiste ainsi que la douleur thoracique aiguë.S'agissant de la cancérologie, le Pr Nekkal s'est félicité que le CHU de Beni-Messous soit doté d'un centre anticancer et qui accueille quotidiennement entre 40 et 50 malades pour des soins de jour. "Nous essayons de nous rapprocher autant que possible du programme du président de la République de lutte contre le cancer", a poursuivi le spécialiste, reconnaissant, néanmoins l'existence de contraintes liées aussi bien à cette spécialité qu'à bien d'autres.Assurant uniquement des soins de chimiothérapie, le CAC relevant de ce CHU ne peut accueillir ainsi les malades nécessitant des radiothérapies, lesquels sont contraints de se rendre ailleurs. La structure hospitalière est également en attente de la réalisation d'un service dédié exclusivement à la chirurgie liée à toutes les pathologies de cancers, sachant que seule celle du sein existe à l'heure actuelle.La rencontre qui s'inscrit, par ailleurs, dans le cadre des cycles de formation continue, sera sanctionnée par une série de recommandations résumant les préoccupations exprimées par les différents intervenants durant deux jours durant.