Le ballet national marque le point !

L'Algérie, à l'instar de la communauté internationale, célèbre la journée internationale de la danse. En partenariat avec les acteurs du secteur, un spectacle de danse alternant entre le classique, le contemporain et la fresque a été présenté samedi soir à Alger.L'Algérie, à l'instar de la communauté internationale, célèbre la journée internationale de la danse. En partenariat avec les acteurs du secteur, un spectacle de danse alternant entre le classique, le contemporain et la fresque a été présenté samedi soir à Alger.Organisé par le ballet national en célébration de la journée internationale de la danse, instaurée par l'Unesco en 1982, et coïncidant avec le 29 avril de chaque année, les danseurs du ballet national et de jeunes talents ont présenté leurs créations dans un spectacle qui constitue plusieurs tableaux mettant en scène différents thèmes.C'est le danseur Sofiane Drici, du ballet national, qui a ouvert le bal avec "Don Quichotte", dans un registre classique avant de céder la scène aux jeunes ballerines de l'école de danse "Arabesque" d'Alger qui ont présenté une chorégraphie élaborée sur une composition de Ludwig Beethoven. Majoritairement âgées de 12 à 15 ans, ces jeunes danseuses ont révélé, après avoir présenté une seconde chorégraphie, un réel potentiel artistique, tant dans la création libre que dans le classique, malgré leur jeune âge et leur très modeste expérience de la scène et du public.Dans un registre de danse contemporaine proche de la création libre le jeune danseur Mohamed Djamaa de Laghouat, qui a rejoint le ballet depuis à peine trois mois, a proposé un tableau dynamique mettant en scène le retour à la vie après la souffrance intitulé "Phénix", qui a séduit le public du Palais de la culture Moufdi- Zakaria. Quatre danseurs du ballet national ont également gratifié le public d'une nouvelle création, "Ego, entre force et faiblesse" qui se contente pour sa part d'illustrer la force et la fragilité dans une chorégraphie simpliste soutenue par une lumière et une musique qui ont été plus expressives que la danse.Les danseurs Wissam Mazouz et Abdessamed Sadouki ont, quant à eux, séduit le public avec une chorégraphie mettant en scène le rapport de l'humain à l'espace et au temps à travers ces deux danseurs qui ne cessent de s'éloigner l'un de l'autre pour se retrouver et se déchirer à nouveau dans un rythme très élevé.En seconde partie de cette soirée, les danseurs du ballet national ont présenté le spectacle "Algérie ma liberté", monté en 2013 dans le cadre des célébrations du cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie et qui retrace par des tableaux chorégraphiques le déclenchement et le déroulement de la guerre de libération nationale avec un focus sur les étudiants et lycéens qui ont rejoint le maquis.Instaurée en 1982 à l'initiative du Comité de Danse International de l'Institut International du Théâtre, la journée internationale de la danse se fête tous les 29 avril, date anniversaire de la naissance du chorégraphe francais Jean Georges Noverre, créateur du ballet moderne.Depuis 1995, au nom de l'unité de la danse, le Conseil International de la Danse (CID), en relation avec l'UNESCO, s'est engagé à célébrer cette journée. Son but essentiel, selon le CID, est d'attirer l'attention du grand public sur l'art de la danse et, tout particulièrement, de toucher un nouveau public qui ne se sent pas concerné dans l'année par les évènements de danse.Organisé par le ballet national en célébration de la journée internationale de la danse, instaurée par l'Unesco en 1982, et coïncidant avec le 29 avril de chaque année, les danseurs du ballet national et de jeunes talents ont présenté leurs créations dans un spectacle qui constitue plusieurs tableaux mettant en scène différents thèmes.C'est le danseur Sofiane Drici, du ballet national, qui a ouvert le bal avec "Don Quichotte", dans un registre classique avant de céder la scène aux jeunes ballerines de l'école de danse "Arabesque" d'Alger qui ont présenté une chorégraphie élaborée sur une composition de Ludwig Beethoven. Majoritairement âgées de 12 à 15 ans, ces jeunes danseuses ont révélé, après avoir présenté une seconde chorégraphie, un réel potentiel artistique, tant dans la création libre que dans le classique, malgré leur jeune âge et leur très modeste expérience de la scène et du public.Dans un registre de danse contemporaine proche de la création libre le jeune danseur Mohamed Djamaa de Laghouat, qui a rejoint le ballet depuis à peine trois mois, a proposé un tableau dynamique mettant en scène le retour à la vie après la souffrance intitulé "Phénix", qui a séduit le public du Palais de la culture Moufdi- Zakaria. Quatre danseurs du ballet national ont également gratifié le public d'une nouvelle création, "Ego, entre force et faiblesse" qui se contente pour sa part d'illustrer la force et la fragilité dans une chorégraphie simpliste soutenue par une lumière et une musique qui ont été plus expressives que la danse.Les danseurs Wissam Mazouz et Abdessamed Sadouki ont, quant à eux, séduit le public avec une chorégraphie mettant en scène le rapport de l'humain à l'espace et au temps à travers ces deux danseurs qui ne cessent de s'éloigner l'un de l'autre pour se retrouver et se déchirer à nouveau dans un rythme très élevé.En seconde partie de cette soirée, les danseurs du ballet national ont présenté le spectacle "Algérie ma liberté", monté en 2013 dans le cadre des célébrations du cinquantième anniversaire de l'indépendance de l'Algérie et qui retrace par des tableaux chorégraphiques le déclenchement et le déroulement de la guerre de libération nationale avec un focus sur les étudiants et lycéens qui ont rejoint le maquis.Instaurée en 1982 à l'initiative du Comité de Danse International de l'Institut International du Théâtre, la journée internationale de la danse se fête tous les 29 avril, date anniversaire de la naissance du chorégraphe francais Jean Georges Noverre, créateur du ballet moderne.Depuis 1995, au nom de l'unité de la danse, le Conseil International de la Danse (CID), en relation avec l'UNESCO, s'est engagé à célébrer cette journée. Son but essentiel, selon le CID, est d'attirer l'attention du grand public sur l'art de la danse et, tout particulièrement, de toucher un nouveau public qui ne se sent pas concerné dans l'année par les évènements de danse.