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La vie nocturne reprend ses droits



La vie nocturne reprend ses droits
Les Algériens aiment faire la fêteAprès une semaine de jeûne, les Algériens ont pris le pli et le Ramadhan s'est bien installé dans tous les esprits. Faisant partie du quotidien et rythmant celui de l'ensemble des citoyens, le mois sacré crée ses propres automatismes. Si la journée est synonyme de baisse de régime économique, avec la chute de la productivité dans les entreprises et les administrations publiques sans oublier les «petits» incidents, dus essentiellement à la mauvaise humeur, les soirées ramadhanesques se distinguent, au contraire, par une «hilarité» sociale remarquable.Le tableau n'est pas nouveau, chez-nous. A telle enseigne que tout le monde regrette que l'ambiance des soirées familiales et bon enfant cesse avec la fin du mois sacré.Sans doute que la spécificité du jeûne appelle un désir de «festoyer» après sa rupture. Il aurait donc fallu que les Algériens jeûnent tout leur été, pour maintenir ce lien si particulier qu'ils tissent au sein des familles, du voisinage et même, plus globalement, avec la société entière. En tout cas, s'il y a un dénominateur commun entre Algériens, c'est celui des soirées du Ramadhan que tout le monde apprécie au plus haut point. Il n'est pas une seule ville du pays qui échappe à cette attraction ramadhanesque et pas une autorité locale qui ose l'ignorer.Au plus haut sommet de l'Etat, on considère que les soirées du mois sacré sont du pain bénit. Elles parviennent à réaliser ce que les politiques s'échinent à faire durant des années, avec des résultats souvent moins bons: donner de la joie au peuple. Un peuple joyeux, c'est la caractéristique de nos soirées en cette période bénie.C'est en tout cas, le constat auquel sont parvenus nos correspondants des quatre coins du pays.Béjaïa, Annaba, Constantine ou encore Oran, tour d'horizon sur le bonheur «récurrent» des Algériens.





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