Ils soutiennent qu'en raison des prix trop onéreux de l'alimentation des volailles – 3400 à 3800 DA/q, entre autres contraintes liées aux charges nombreuses, ils ne peuvent garantir la pérennité de l'activité et revendiquent de ce fait le bénéfice des mesures présidentielles, portant annulation des dettes des fellahs contractées auprès des banques au titre de prêts d'aide à la production.
C'est le cas par exemple du titulaire du projet, situé au 8ème Km, sur la route de Séraïdi, qui informe les autorités compétentes qu'en raison de ces difficultés, il a été acculé à la cessation de l'activité, après seulement sept mois d'exercice. Il a expliqué que le prix de vente de la plaque de 30 œufs, fixé à 140 DA, ne sera jamais suffisant pour couvrir les charges ayant trait à l'élevage des poules pondeuses.  Â
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Posté Le : 16/01/2011
Posté par : sofiane
Ecrit par : Arezki S.
Source : www.elwatan.com