Algérie - A la une

La CAP dénonce et affirme avoir "un dossier" !


Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP) a indiqué, sans plus de détails, qu'un dossier de corruption va être remis à la Commission nationale de lutte contre la corruption. Un fléau dont il considère qu'il faudrait entreprendre des actions prioritaires pour le terrasser.Le président de la Confédération algérienne du patronat (CAP) a indiqué, sans plus de détails, qu'un dossier de corruption va être remis à la Commission nationale de lutte contre la corruption. Un fléau dont il considère qu'il faudrait entreprendre des actions prioritaires pour le terrasser.
Evoquant cette dernière, hier matin, sur les ondes de la Radio nationale, M. Boualem Mérakèche, pointe du doigt la mafia "politico-financière", mais également les pratiques bureaucratiques. Deux phénomènes qu'il accuse d'avoir favorisé les importations tous azimuts. Ils ont, en outre, "contribué à mettre à mal l'outil économique national et à placer le pays dans la situation délicate dans laquelle il se trouve présentement", a-t-il affirmé.
L'économie productive en question
Evoquant la première tranche des moyens financiers débloqués, en 2017, par les pouvoirs publics, environ 20 milliards de dollars, l'invité de la Radio nationale estime que ces moyens vont certainement contribuer à la relance d'une économie productive hors hydrocarbures. D'autant, rappelle- t-il, que l'Algérie possède toutes les conditions pour dépasser la situation de crise à laquelle elle est confrontée présentement. Pour M. Boualem Mérakèche, l'urgence, aujourd'hui, consiste à appuyer la "stratégie d'urgence" activée par le gouvernement. Et ce, pour assainir la situation dans laquelle végète l'économie.
R. E.
Evoquant cette dernière, hier matin, sur les ondes de la Radio nationale, M. Boualem Mérakèche, pointe du doigt la mafia "politico-financière", mais également les pratiques bureaucratiques. Deux phénomènes qu'il accuse d'avoir favorisé les importations tous azimuts. Ils ont, en outre, "contribué à mettre à mal l'outil économique national et à placer le pays dans la situation délicate dans laquelle il se trouve présentement", a-t-il affirmé.
L'économie productive en question
Evoquant la première tranche des moyens financiers débloqués, en 2017, par les pouvoirs publics, environ 20 milliards de dollars, l'invité de la Radio nationale estime que ces moyens vont certainement contribuer à la relance d'une économie productive hors hydrocarbures. D'autant, rappelle- t-il, que l'Algérie possède toutes les conditions pour dépasser la situation de crise à laquelle elle est confrontée présentement. Pour M. Boualem Mérakèche, l'urgence, aujourd'hui, consiste à appuyer la "stratégie d'urgence" activée par le gouvernement. Et ce, pour assainir la situation dans laquelle végète l'économie.
R. E.
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